L'Ordre des Chevaliers Divins L'Ordre des Chevaliers Divins regroupe nombre de soldats plus ou moins expérimentés mais se battant pour une cause juste, Dieu. |
| | Les dilemmes des écrivainS | |
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+4Delpherion Galadas Le-Nain SquallDiVeneta 8 participants | |
Auteur | Message |
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Galadas Prince du Forum
Nombre de messages : 778 Age : 30 Localisation : Chaise, près de Bureau. Date d'inscription : 24/08/2009
Votre Chevalier Nom: Karl d'Evillard Grade: Ecuyer Statut: En mission
| Sujet: Re: Les dilemmes des écrivainS Mer 27 Juil - 0:32 | |
| n'essaye pas. Fais le. | |
| | | Le-Nain Grand Correcteur
Nombre de messages : 4204 Age : 30 Localisation : Euh... très loin de ma terre natale... Date d'inscription : 04/08/2007
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| Sujet: Re: Les dilemmes des écrivainS Mer 27 Juil - 1:16 | |
| Voilà une bien maigre mise en bouche mais je suis trop crevé pour continuer ce soir... - Spoiler:
Chapitre III : Rajka. Envoyé en éclaireur, un petit groupe de chevaliers arrive dans un petit village du nom de Rajka, régulièrement attaqué par un seigneur bandit et ses hommes. Les chevaliers vont décider de défendre les villageois hongrois au péril de leur vie tandis que deux agents se chargeront d'exécuter le chef des brigands, allant jusqu'à infiltrer sa demeure pour rendre justice.Après la dernière bataille où l’Ordre avait dominé assez nettement mais non sans répit les rebelles de la Koalition der Gerechten, seul le Lieutenant Otto Von Kassel n’était guère de bonne humeur : Malgré la victoire, son visage arborait un air maussade. En effet, ce jeune guerrier germanique au talent indéniable n’aurait même pas le temps de profiter de cette victoire puisque le Commandant Édouard de York l’avait convoqué pour l’informer de ses prochaines obligations. Ainsi, Otto devrait repartir dans seulement deux jours à la tête d’un petit groupe de soldats envoyé en éclaireur vers les tristes collines hongroises. Jusque là, le Germain n’avait aucune raison de se plaindre mais un sentiment de colère et d’abattement l’envahit lorsqu’il apprit que lui et la vingtaine d’hommes qu’il commanderait devraient faire la route à pied. Comme si les soldats n’étaient pas déjà assez fatigués après cette âpre bataille… De plus, les ordres qu’avaient reçu Otto demeuraient assez obscures : il devait juste s’assurer que la route qu’emprunterait dans quelques jours l’armée de l’Ordre, était bien sans danger. Dans le cas contraire, ce serait à lui et ses hommes d’améliorer la situation dans cette zone. Il disposait pour cela d’un mois pour accomplir du mieux qu’il pouvait la mission, avant de retourner faire son rapport au Commandant. Pour résumer, le Lieutenant Von Kassel était convaincu que ses supérieurs venaient de décider de sacrifier quelques soldats simplement pour avoir une idée d’une potentielle la menace rebelle et des dommages qu’elle pourrait éventuellement infliger à l’Ordre. Mais il savait qu’il n’avait pas le choix et que cette mission était plus que nécessaire pour garantir la sécurité et optimiser l’efficacité de l’armée de l’Ordre. C’est donc dans cet état extrême d’épuisement, aussi bien physique que moral, avec quantités d’interrogations quant à sa mission à venir qu’Otto Von Kassel regagna sa tente pour profiter d’une bonne nuit de sommeil qui s’annonçait agitée pour le Lieutenant. Le lendemain serait une journée très chargée allant de la réquisition d’une quantité non négligeable de provisions à la recherche d’une vingtaine de soldats encore en bonne forme et motivés pour un mois de marche à pied dans un environnement jugé plutôt hostile. Otto avait déjà hâte d’en finir avec cette mission de reconnaissance… * **
Je tiens à préciser que pour écrire ce passage, je me suis seulement basé ces 2 phrases : - Citation :
- Après la bataille, Otto ne fut guère d’humeur. L’air maussade, il n’avait pas broncher lorsque son Maître, Sopraluk, l’avait envoyé en éclaireur dans les tristes collines slave.
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| | | Le-Nain Grand Correcteur
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Votre Chevalier Nom: Karl Skapty Grade: Sergent Statut: Au repos
| Sujet: Re: Les dilemmes des écrivainS Mer 27 Juil - 16:17 | |
| Bon j'avance lentement mais sûrement... Juste une question, quel était le grade d'Otto Von Kassel à notre entrée en Hongrie ? Sympa aussi la cohérence : pour Adrian on a, "le climat clément" et pour Otto, "il n’avait cessé de pleuvoir, une pluie fine et glaciale". Vous préférez quoi pour un 30 Novembre ? | |
| | | Le-Nain Grand Correcteur
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Votre Chevalier Nom: Karl Skapty Grade: Sergent Statut: Au repos
| Sujet: Re: Les dilemmes des écrivainS Jeu 28 Juil - 1:26 | |
| Je me sens un peu seul aujourd'hui... Bon j'ai finalement opté pour la pluie... Je remets le début et la suite. Surtout, n'hésitez pas à dire ce que vous en pensez, à me signaler les fautes et ce qu'il y a à améliorer, ça fait longtemps que je n'ai pas écris... - Spoiler:
Chapitre III : Rajka.
Envoyé en éclaireur, un petit groupe de chevaliers arrive dans un petit village du nom de Rajka, régulièrement attaqué par un seigneur bandit et ses hommes. Les chevaliers vont décider de défendre les villageois hongrois au péril de leur vie tandis que deux agents se chargeront d'exécuter le chef des brigands, allant jusqu'à infiltrer sa demeure pour rendre justice.Après la dernière bataille où l’Ordre avait dominé assez nettement mais non sans répit les rebelles de la Koalition der Gerechten, seul le Sergent Otto Von Kassel n’était guère de bonne humeur : malgré la victoire, son visage arborait un air maussade. En effet, ce jeune guerrier germanique au talent indéniable n’aurait même pas le temps de profiter de cette victoire puisque le Commandant Édouard de York l’avait convoqué pour l’informer de ses prochaines obligations. De toute façon, il n’avait vraiment pas envie de fêter cette bataille, lors de laquelle son ami et compagnon de toujours, Locktar, était décédé. Ainsi, Otto devrait repartir dans seulement deux jours à la tête d’un petit groupe de soldats envoyé en éclaireur vers les tristes collines hongroises. Jusque là, le Germain n’avait aucune raison de se plaindre mais un sentiment de colère et d’abattement l’envahit lorsqu’il apprit que lui et la vingtaine d’hommes qu’il commanderait devraient faire la route à pied. Comme si les soldats n’étaient pas déjà assez fatigués après cette âpre bataille… De plus, les ordres qu’avaient reçu Otto demeuraient assez obscures : il devait juste s’assurer que la route qu’emprunterait dans quelques jours l’armée de l’Ordre, était bien sans danger. Dans le cas contraire, ce serait à lui et ses hommes d’améliorer la situation dans cette zone. Il disposait pour cela d’un mois pour accomplir du mieux qu’il pouvait la mission, avant de retourner faire son rapport au Commandant. Pour résumer, le Sergent Von Kassel était convaincu que ses supérieurs venaient de décider de sacrifier quelques soldats simplement pour avoir une idée d’une potentielle la menace rebelle et des dommages qu’elle pourrait éventuellement infliger à l’Ordre. Mais il savait qu’il n’avait pas le choix et que cette mission était plus que nécessaire pour garantir la sécurité et optimiser l’efficacité de l’armée de l’Ordre. C’est donc dans cet état extrême d’épuisement, aussi bien physique que moral, avec quantités d’interrogations quant à sa mission à venir qu’Otto Von Kassel regagna sa tente pour profiter d’une bonne nuit de sommeil qui s’annonçait agitée pour le Sergent. Le lendemain serait une journée très chargée allant de la réquisition d’une quantité non négligeable de provisions à la recherche d’une vingtaine de soldats encore en bonne forme et motivés pour un mois de marche à pied dans un environnement jugé plutôt hostile. Otto avait déjà hâte d’en finir avec cette mission de reconnaissance… * ** Adrian Gordon était retourné sur le champ de bataille où, la veille, les rebelles avaient été mie en déroute par l’armée de l’Ordre des Chevaliers Divins. Depuis déjà quelques heures, l’Écossais se baladait parmi les cadavres à la recherche d’éventuels survivants, qu’ils aient combattu pour l’Ordre ou pour la Koalition der Gerechten. Il put néanmoins constater que la majorité des morts présents ici étaient ceux de ses ennemis, rendant compte de la nette victoire de l’Ordre. Les défunts soldats de l’Ordre commençaient déjà être enterrés individuellement, tandis que les corps des rebelles reposeraient tous ensemble dans une fosse commune si certains auraient le courage d’en creuser une. Sinon, on les brûlerait pour éviter les maladies. L’assaut s’était déroulé comme prévu pour Adrian et son unité : lors de sa première bataille au sein de l’Ordre, ce géant avait déjà fait ses preuves, certains officiers ayant déjà remarqué ce talentueux guerrier qui d’ailleurs, ne passait que rarement inaperçu. L’un de ces officiers n’était autre que le Sergent Otto Von Kassel qui avait ce jour-là, expressément besoin d’une vingtaine de volontaires pour constituer son escouade. Le Germain et l’Écossais avaient tous deux combattu au sein de la cavalerie la veille, et ce dernier avait déjà tapé dans l’œil de son supérieur. Ainsi, malgré sa blessure encore douloureuse et qui n’était pas totalement cicatrisée, Adrian se retrouva à préparer ses maigres affaires pour partir en exploration pendant un mois. Au contraire du Sergent, Adrian n’était pas mécontent de repartir si tôt en mission, sa monture ayant besoin d’être le plus souvent en action pour garder une forme optimale. Ce soir là, Adrian ne s’arrêta pas prendre un verre avec ses compagnons de la cavalerie qui continueraient encore quelques jours à fêter la victoire de l’Ordre. Il se rendit directement à sa tente où il espérait trouver rapidement le sommeil : sa mission à venir ne s’annonçait pas de tout repos avec un départ du camp de l’Ordre dès l’apparition des premières lueurs du jour. * ** Armé d’une hallebarde dérobée au cadavre d’un ancien brigand et de sa fidèle claymore, Adrian se rendit le lendemain, à l’aube, à la sortie du camp de l’Ordre, où devaient se rejoindre ceux qui bientôt, serait sous les ordres d’Otto Von Kassel pendant plusieurs jours. Ce dernier, comme une quinzaine d’autres soldats, était déjà présent lorsque Gordon arriva, qui salua le Lieutenant. Celui-ci lui apprit qu’il devait être une vingtaine, peut-être un peu plus si personne ne manquait à l’appel. Il l’informa aussi que leur mission consisterait à s’assurer qu’aucune armée ennemie ne se trouvait dans le périmètre défini, et à déjouer les éventuelles tentatives d’embuscades sur les différents chemins que pouvait emprunter l’armée de l’Ordre. Au même moment, les derniers hommes attendus venaient se présenter au Lieutenant et le groupe de Chevaliers se mit en route. Von Kassel semblait encore plus énervé et fermé que deux jours auparavant. En effet, le Lieutenant Bertrand de Lorraine avait demandé à le voir la veille pour l’informer que deux assassins de l’Ordre qu’il avait lui-même choisis accompagneraient Otto et son escouade dans leur exploration des terres hongroises. Ce fut un coup dur porté au Sergent qui se méfiait et craignait les assassins, même si ceux-ci faisaient partis de son camp : un assassin pouvait retourner sa veste à chaque instant selon lui. En tout cas, ces deux là ne dérogeaient pas à la règle et faisaient froid dans le dos. L’un d’eux, répondant au nom de Sclavo Daleva, était d’origine vénitienne et portait un arc. Otto n’avait jamais vraiment aimé les vénitiens, mais au moins, celui-là était européen, pas comme son collègue. Il s’agissait en fait d’un musulman, plutôt réservé. Il venait de rejoindre les rangs de l’Ordre et n’avait encore pas dit le moindre mot. Peut-être était-il muet pensa le Sergent… De toute façon, cela n’avait pas d’importance pour Otto, les derniers jours ayant été trop amers à son goût. Le sang, la violence et la tristesse. Oui ces mots résumaient assez bien la précédente bataille. Le sang, il n’avait cessé de couler tout au long de cette triste journée. Les hommes étaient redevenus quelques temps à l’état animal : tuer, toujours tuer, ils ne pensaient alors plus qu’à cela. La seule chose désormais, qui retenait Otto dans l’Ordre des Chevaliers Divins, était la vengeance : il devait son ami Locktar. Locktar... Rien qu’en y repensant, une immense tristesse envahit son esprit. Le temps était à l’image de son humeur : en ce 30 Novembre 1151, il n’avait cessé de pleuvoir, une pluie fine et glaciale. Durant la totalité du voyage, personne ne parlait ou presque, et seulement pour évoquer des sujets essentiels qui ne pouvaient attendre. Aucun soldat n’osait briser ce silence et Adrian Gordon aussi se montrait peu loquace, profitant pleinement de ces moments de calme et de sérénité qui tranchaient avec la progression difficile du groupe dans la boue hongroise. On aurait presque pu penser être en train d’assister à un cortège funèbre tellement les soldats avançaient tristement à travers les collines, les champs hongrois depuis déjà plusieurs jours. D’ailleurs, dans ces conditions, quelques hommes tombés malencontreusement sur ce terrain difficile n’avaient pas échappé aux blessures : l’un d’eux s’était même foulé la cheville le dixième jour et il se reposait sur son frère Warren pour avancer. Bien évidemment, cela ralentissait un peu le groupe ce qui ne plaisait guère au Sergent Von Kassel et l’agaçait fortement même s’il n’aurait jamais envisagé d’abandonner le plus faible de ses hommes. Enfin, après plus d’une quinzaine de jours de marche et alors que la nuit commençait à tomber, les éclaireurs improvisés s’apprêtaient à s’arrêter pour monter leur camp comme chaque soir suivant une longue et éprouvante journée de marche. Otto Von Kassel demanda juste à ses hommes un dernier effort pour atteindre le sommet d’une butte, cinq cents mètres plus haut. Personne ne broncha et quelques minutes plus tard, tous parvinrent à gravir cette modeste côte. Les faibles lumières qu’ils aperçurent ensuite en contrebas les émerveillèrent : ils n’étaient plus très loin de ce qui semblait être un petit village hongrois. A cette vue, le moral d’Otto remontât quelque peu et il harangua ses compagnons qui, malgré la fatigue, étaient de nouveau motivés pour reprendre à l’idée qu’ils pourraient passer la nuit dans ce village et non plus dans un des nombreux marécages hongrois.
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| | | SquallDiVeneta Commandant en Second
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Votre Chevalier Nom: Livio Daleva Grade: Capitaine Statut: En mission
| Sujet: Re: Les dilemmes des écrivainS Jeu 28 Juil - 1:39 | |
| Pas mal, et Otto devait bel et bien être sergent puisque pour accéder au grade de lieutenant, il fallait 6 missions à son actif et que c'était encore que le début du RP. Un peu de fatigue visible néanmoins et un correcteur Word toujours aussi naze. - Citation :
- Chapitre III :
Rajka.
Envoyé en éclaireur, un petit groupe de chevaliers arrive dans un petit village du nom de Rajka, régulièrement attaqué par un seigneur bandit et ses hommes. Les chevaliers vont décider de défendre les villageois hongrois au péril de leur vie tandis que deux agents se chargeront d'exécuter le chef des brigands, allant jusqu'à infiltrer sa demeure pour rendre justice.
Après la dernière bataille où l’Ordre avait dominé assez nettement mais non sans répit les rebelles de la Koalition der Gerechten (je suis pas sûr d'avoir pigé ce passage), seul le Sergent Otto Von Kassel n’était guère de bonne humeur : malgré la victoire, son visage arborait un air maussade. En effet, ce jeune guerrier germanique au talent indéniable n’aurait même pas le temps de profiter de cette victoire puisque le Commandant Édouard de York l’avait convoqué pour l’informer de ses prochaines obligations. De toute façon, il n’avait vraiment pas envie de fêter cette bataille, lors de laquelle son ami et compagnon de toujours, Locktar, était décédé. Ainsi, Otto devrait repartir dans seulement deux jours à la tête d’un petit groupe de soldats envoyé en éclaireur vers les tristes collines hongroises. Jusque là, le Germain n’avait aucune raison de se plaindre mais un sentiment de colère et d’abattement l’envahit lorsqu’il apprit que lui et la vingtaine d’hommes qu’il commanderait devraient faire la route à pied. Comme si les soldats n’étaient pas déjà assez fatigués après cette âpre bataille…
De plus, les ordres qu’avaient (qu'avait)reçu Otto demeuraient assez obscures : il devait juste s’assurer que la route qu’emprunterait dans quelques jours l’armée de l’Ordre, était bien sans danger. Dans le cas contraire, ce serait à lui et ses hommes d’améliorer la situation dans cette zone. Il disposait pour cela d’un mois pour accomplir du mieux qu’il pouvait la mission, avant de retourner faire son rapport au Commandant. Pour résumer, le Sergent Von Kassel était convaincu que ses supérieurs venaient de décider de sacrifier quelques soldats simplement pour avoir une idée d’une potentielle la menace rebelle et des dommages qu’elle pourrait éventuellement infliger à l’Ordre. Mais il savait qu’il n’avait pas le choix et que cette mission était plus que nécessaire pour garantir la sécurité et optimiser l’efficacité de l’armée de l’Ordre.
C’est donc dans cet état extrême d’épuisement, aussi bien physique que moral, avec quantités d’interrogations quant à sa mission à venir qu’Otto Von Kassel regagna sa tente pour profiter d’une bonne nuit de sommeil qui s’annonçait agitée pour le Sergent. Le lendemain serait une journée très chargée allant de la réquisition d’une quantité non négligeable de provisions à la recherche d’une vingtaine de soldats encore en bonne forme et motivés pour un mois de marche à pied dans un environnement jugé plutôt hostile. Otto avait déjà hâte d’en finir avec cette mission de reconnaissance…
* **
Adrian Gordon était retourné sur le champ de bataille où, la veille, les rebelles avaient été mie en déroute par l’armée de l’Ordre des Chevaliers Divins. Depuis déjà quelques heures, l’Écossais se baladait parmi les cadavres à la recherche d’éventuels survivants, qu’ils aient combattu pour l’Ordre ou pour la Koalition der Gerechten. Il put néanmoins constater que la majorité des morts présents ici étaient ceux de ses ennemis, rendant compte de la nette victoire de l’Ordre. Les défunts soldats de l’Ordre commençaient déjà être enterrés individuellement, tandis que les corps des rebelles reposeraient tous ensemble dans une fosse commune si certains auraient (? avaient ?) le courage d’en creuser une. Sinon, on les brûlerait pour éviter les maladies. L’assaut s’était déroulé comme prévu pour Adrian et son unité : lors de sa première bataille au sein de l’Ordre, ce géant avait déjà fait ses preuves, certains officiers ayant déjà (répétition) remarqué ce talentueux guerrier qui d’ailleurs, ne passait que rarement inaperçu.
L’un de ces officiers n’était autre que le Sergent Otto Von Kassel qui avait ce jour-là, expressément besoin d’une vingtaine de volontaires pour constituer son escouade. Le Germain et l’Écossais avaient tous deux combattu au sein de la cavalerie la veille, et ce dernier avait déjà tapé dans l’œil de son supérieur. Ainsi, malgré sa blessure encore douloureuse et qui n’était pas totalement cicatrisée, Adrian se retrouva à préparer ses maigres affaires pour partir en exploration pendant un mois. Au contraire du Sergent, Adrian n’était pas mécontent de repartir si tôt en mission, sa monture ayant besoin d’être le plus souvent en action pour garder une forme optimale. Ce soir là, Adrian ne s’arrêta pas prendre un verre avec ses compagnons de la cavalerie qui continueraient encore quelques jours à fêter la victoire de l’Ordre. Il se rendit directement à sa tente où il espérait trouver rapidement le sommeil : sa mission à venir ne s’annonçait pas de tout repos avec un départ du camp de l’Ordre dès l’apparition des premières lueurs du jour.
* **
Armé d’une hallebarde dérobée au cadavre d’un ancien brigand et de sa fidèle claymore, Adrian se rendit le lendemain, à l’aube, à la sortie du camp de l’Ordre, où devaient se rejoindre ceux qui bientôt, serait (seraient)sous les ordres d’Otto Von Kassel pendant plusieurs jours. Ce dernier, comme une quinzaine d’autres soldats, était déjà présent lorsque Gordon arriva, qui salua le Lieutenant (sergent). Celui-ci lui apprit qu’il devait ( ? devraient ?) être une vingtaine, peut-être un peu plus si personne ne manquait à l’appel. Il l’informa aussi que leur mission consisterait à s’assurer qu’aucune armée ennemie ne se trouvait dans le périmètre défini, et à déjouer les éventuelles tentatives d’embuscades sur les différents chemins que pouvait emprunter l’armée de l’Ordre. Au même moment, les derniers hommes attendus venaient se présenter au Lieutenant (sergent) et le groupe de Chevaliers se mit en route.
Von Kassel semblait encore plus énervé et fermé que deux jours auparavant. En effet, le Lieutenant Bertrand de Lorraine avait demandé à le voir la veille pour l’informer que deux assassins de l’Ordre qu’il avait lui-même choisis accompagneraient Otto et son escouade dans leur exploration des terres hongroises. Ce fut un coup dur porté au Sergent qui se méfiait et craignait les assassins, même si ceux-ci faisaient partis de son camp : un assassin pouvait retourner sa veste à chaque instant selon lui. En tout cas, ces deux là ne dérogeaient pas à la règle et faisaient froid dans le dos. L’un était d’origine vénitienne et portait un arc. Otto n’avait jamais vraiment aimé les vénitiens, mais au moins, celui-là était européen, pas comme son collègue. Il s’agissait en fait d’un musulman (converti chrétien, mais otto ne le sait pas forcèment, et ce préjugé au final renforce le sentiment d'injustice et de rancoeur de Al Assel plus tard...alors au final j'ai rien dit ! ^^) ,plutôt réservé. Il venait de rejoindre les rangs de l’Ordre et n’avait encore pas dit le moindre mot. Peut-être était-il muet pensa le Sergent…
De toute façon, cela n’avait pas d’importance pour Otto, les derniers jours ayant été trop amers à son goût. Le sang, la violence et la tristesse. Oui ces mots résumaient assez bien la précédente bataille. Le sang, il n’avait cessé de couler tout au long de cette triste journée. Les hommes étaient redevenus quelques temps à l’état animal : tuer, toujours tuer, ils ne pensaient alors plus qu’à cela. La seule chose désormais, qui retenait Otto dans l’Ordre des Chevaliers Divins, était la vengeance : il devait son ami Locktar. Locktar... Rien qu’en y repensant, une immense tristesse envahit son esprit. | |
| | | Le-Nain Grand Correcteur
Nombre de messages : 4204 Age : 30 Localisation : Euh... très loin de ma terre natale... Date d'inscription : 04/08/2007
Votre Chevalier Nom: Karl Skapty Grade: Sergent Statut: Au repos
| Sujet: Re: Les dilemmes des écrivainS Jeu 28 Juil - 2:06 | |
| - SquallDiVeneta a écrit:
- Pas mal, et Otto devait bel et bien être sergent puisque pour accéder au grade de lieutenant, il fallait 6 missions à son actif et que c'était encore que le début du RP.
Un peu de fatigue visible néanmoins et un correcteur Word toujours aussi naze.
- Citation :
- Chapitre III :
Rajka.
Envoyé en éclaireur, un petit groupe de chevaliers arrive dans un petit village du nom de Rajka, régulièrement attaqué par un seigneur bandit et ses hommes. Les chevaliers vont décider de défendre les villageois hongrois au péril de leur vie tandis que deux agents se chargeront d'exécuter le chef des brigands, allant jusqu'à infiltrer sa demeure pour rendre justice.
Après la dernière bataille où l’Ordre avait dominé assez nettement mais non sans répit les rebelles de la Koalition der Gerechten (je suis pas sûr d'avoir pigé ce passage)(il faut retourner longtemps en arrière Squall, après la Bataille de Sang et de Gris lors de laquelle l'Ordre affronte une armée de la Koalition der Gerechten et où Sclavo avait infiltré le camp rebelle, c'était ta première mission), seul le Sergent Otto Von Kassel n’était guère de bonne humeur : malgré la victoire, son visage arborait un air maussade. En effet, ce jeune guerrier germanique au talent indéniable n’aurait même pas le temps de profiter de cette victoire puisque le Commandant Édouard de York l’avait convoqué pour l’informer de ses prochaines obligations. De toute façon, il n’avait vraiment pas envie de fêter cette bataille, lors de laquelle son ami et compagnon de toujours, Locktar, était décédé. Ainsi, Otto devrait repartir dans seulement deux jours à la tête d’un petit groupe de soldats envoyé en éclaireur vers les tristes collines hongroises. Jusque là, le Germain n’avait aucune raison de se plaindre mais un sentiment de colère et d’abattement l’envahit lorsqu’il apprit que lui et la vingtaine d’hommes qu’il commanderait devraient faire la route à pied. Comme si les soldats n’étaient pas déjà assez fatigués après cette âpre bataille…
De plus, les ordres qu’avaient (qu'avait) (merci) reçu Otto demeuraient assez obscures : il devait juste s’assurer que la route qu’emprunterait dans quelques jours l’armée de l’Ordre, était bien sans danger. Dans le cas contraire, ce serait à lui et ses hommes d’améliorer la situation dans cette zone. Il disposait pour cela d’un mois pour accomplir du mieux qu’il pouvait la mission, avant de retourner faire son rapport au Commandant. Pour résumer, le Sergent Von Kassel était convaincu que ses supérieurs venaient de décider de sacrifier quelques soldats simplement pour avoir une idée d’une potentielle la menace rebelle (c'était très con ça ^^) et des dommages qu’elle pourrait éventuellement infliger à l’Ordre. Mais il savait qu’il n’avait pas le choix et que cette mission était plus que nécessaire pour garantir la sécurité et optimiser l’efficacité de l’armée de l’Ordre.
C’est donc dans cet état extrême d’épuisement, aussi bien physique que moral, avec quantités d’interrogations quant à sa mission à venir qu’Otto Von Kassel regagna sa tente pour profiter d’une bonne nuit de sommeil qui s’annonçait agitée pour le Sergent. Le lendemain serait une journée très chargée allant de la réquisition d’une quantité non négligeable de provisions à la recherche d’une vingtaine de soldats encore en bonne forme et motivés pour un mois de marche à pied dans un environnement jugé plutôt hostile. Otto avait déjà hâte d’en finir avec cette mission de reconnaissance…
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Adrian Gordon était retourné sur le champ de bataille où, la veille, les rebelles avaient été mie en déroute par l’armée de l’Ordre des Chevaliers Divins. Depuis déjà quelques heures, l’Écossais se baladait parmi les cadavres à la recherche d’éventuels survivants, qu’ils aient combattu pour l’Ordre ou pour la Koalition der Gerechten. Il put néanmoins constater que la majorité des morts présents ici étaient ceux de ses ennemis, rendant compte de la nette victoire de l’Ordre. Les défunts soldats de l’Ordre commençaient déjà être enterrés individuellement, tandis que les corps des rebelles reposeraient tous ensemble dans une fosse commune si certains auraient (? avaient ?) (oui, "avaient" c'est mieux) le courage d’en creuser une. Sinon, on les brûlerait pour éviter les maladies. L’assaut s’était déroulé comme prévu pour Adrian et son unité : lors de sa première bataille au sein de l’Ordre, ce géant avait déjà semble-t-il fait ses preuves, certains officiers ayant déjà remarqué ce talentueux guerrier qui d’ailleurs, ne passait que rarement inaperçu.
L’un de ces officiers n’était autre que le Sergent Otto Von Kassel qui avait ce jour-là, expressément besoin d’une vingtaine de volontaires pour constituer son escouade. Le Germain et l’Écossais avaient tous deux combattu au sein de la cavalerie la veille, et ce dernier avait déjà tapé dans l’œil de son supérieur. Ainsi, malgré sa blessure encore douloureuse et qui n’était pas totalement cicatrisée, Adrian se retrouva à préparer ses maigres affaires pour partir en exploration pendant un mois. Au contraire du Sergent, Adrian n’était pas mécontent de repartir si tôt en mission, sa monture ayant besoin d’être le plus souvent en action pour garder une forme optimale. Ce soir là, Adrian ne s’arrêta pas prendre un verre avec ses compagnons de la cavalerie qui continueraient encore quelques jours à fêter la victoire de l’Ordre. Il se rendit directement à sa tente où il espérait trouver rapidement le sommeil : sa mission à venir ne s’annonçait pas de tout repos avec un départ du camp de l’Ordre dès l’apparition des premières lueurs du jour.
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Armé d’une hallebarde dérobée au cadavre d’un ancien brigand et de sa fidèle claymore, Adrian se rendit le lendemain, à l’aube, à la sortie du camp de l’Ordre, où devaient se rejoindre ceux qui bientôt serait (seraient) (ah oui merci ^^) sous les ordres d’Otto Von Kassel pendant plusieurs jours. Ce dernier, comme une quinzaine d’autres soldats, était déjà présent lorsque Gordon arriva, qui salua le Lieutenant (sergent). Celui-ci lui apprit qu’il devait ( ? devraient ?) (grosse erreur de ma part là encore...) être une vingtaine, peut-être un peu plus si personne ne manquait à l’appel. Il l’informa aussi que leur mission consisterait à s’assurer qu’aucune armée ennemie ne se trouvait dans le périmètre défini, et à déjouer les éventuelles tentatives d’embuscades sur les différents chemins que pouvait emprunter l’armée de l’Ordre. Au même moment, les derniers hommes attendus venaient se présenter au Lieutenant (sergent) (j'ai vraiment eu trop de mal avec son grade...) et le groupe de Chevaliers se mit en route.
Von Kassel semblait encore plus énervé et fermé que deux jours auparavant. En effet, le Lieutenant Bertrand de Lorraine avait demandé à le voir la veille pour l’informer que deux assassins de l’Ordre qu’il avait lui-même choisis accompagneraient Otto et son escouade dans leur exploration des terres hongroises. Ce fut un coup dur porté au Sergent qui se méfiait et craignait les assassins, même si ceux-ci faisaient partis de son camp : un assassin pouvait retourner sa veste à chaque instant selon lui. En tout cas, ces deux là ne dérogeaient pas à la règle et faisaient froid dans le dos. L’un était d’origine vénitienne et portait un arc. Otto n’avait jamais vraiment aimé les vénitiens, mais au moins, celui-là était européen, pas comme son collègue. Il s’agissait en fait d’un musulman (converti chrétien, mais otto ne le sait pas forcèment, et ce préjugé au final renforce le sentiment d'injustice et de rancoeur de Al Assel plus tard...alors au final j'ai rien dit ! ^^) (en fait, il s'agit dans cette mission de Dager, et non de d'Al Mynia... mais effectivement, on pourrait considérer qu'il s'agit de d'Al Mynia. Le problème si je remplace d'Al Mynia dans cette mission, c'est que le perso de Dager ne sera pas introduit alors que par la suite, j'ai regardé, il a une mission avec d'Al Mynia. Donc dans ce cas là, il faudra aussi que je fasse l'impasse sur Dager qui n'apparaitra donc jamais... Enfin voilà, je sais pas quoi faire...), plutôt réservé. Il venait de rejoindre les rangs de l’Ordre et n’avait encore pas dit le moindre mot. Peut-être était-il muet pensa le Sergent…
De toute façon, cela n’avait pas d’importance pour Otto, les derniers jours ayant été trop amers à son goût. Le sang, la violence et la tristesse. Oui ces mots résumaient assez bien la précédente bataille. Le sang, il n’avait cessé de couler tout au long de cette triste journée. Les hommes étaient redevenus quelques temps à l’état animal : tuer, toujours tuer, ils ne pensaient alors plus qu’à cela. La seule chose désormais, qui retenait Otto dans l’Ordre des Chevaliers Divins, était la vengeance : il devait son ami Locktar. Locktar... Rien qu’en y repensant, une immense tristesse envahit son esprit. | |
| | | SquallDiVeneta Commandant en Second
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Votre Chevalier Nom: Livio Daleva Grade: Capitaine Statut: En mission
| Sujet: Re: Les dilemmes des écrivainS Jeu 28 Juil - 2:10 | |
| Dager, je l'avais oublié le pauvre.
J'étais persuadé que d'Al Mynia était présent à ce moment, faut dire c'est loin, très loin alors bon... | |
| | | Le-Nain Grand Correcteur
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| Sujet: Re: Les dilemmes des écrivainS Jeu 28 Juil - 2:13 | |
| Oui c'est sur et c'est évident que ça prête à confusion comme je n'ai pas indiqué clairement le nom de l'assassin musulman. Mais en même temps, comme il ne dit rien de tout le trajet, les autres soldats de l'Ordre ne peuvent pas savoir quel est son nom, donc nous non plus | |
| | | SquallDiVeneta Commandant en Second
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| | | | Le-Nain Grand Correcteur
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| Sujet: Re: Les dilemmes des écrivainS Jeu 28 Juil - 2:37 | |
| Merci, merci Mais ce n'est pas terminé. En effet, si par contre on considère le narrateur comme omniscient, alors je pourrais éventuellement rajouter un bout de phrase du type "il s'appelait en fait Dager" et le problème est réglé... Encore faut-il considéré le narrateur comme omniscient... Je vous demande donc : est-ce le cas dans vos récits ? Moi je me souviens plus, ça fait trop longtemps que je n'ai pas réellement écris... | |
| | | SquallDiVeneta Commandant en Second
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| Sujet: Re: Les dilemmes des écrivainS Jeu 28 Juil - 2:58 | |
| Mes narrateurs sont partiellement omniscients, en général, ils savent ce qui trotte dans la tête d'un perso et le disent, ce qui donne plus ou moins un récit décrit par le personnage central du moment, mais à la troisième personne.
Mais parfois, pour des révélations importantes, je fais des entorses, ça pourrait donner : Rogacien marchait, certain de sa puissance, il regarda les chevaliers autour de lui, ces pauvres gens ignorant qu'un tel géant se trouvait au milieu d'eux. Il leur montrerait bientôt son géni, sa puissance et sa générosité. Même, s'il ignorait qu'à ce moment, Wlad marchait à pas de loups derrière lui, juste avant d'attraper son pantalon par les côtés pour le baisser jusqu'aux chevilles, Rogacien se retrouvant cul nu au beau milieu de la basse-cour de Castelfort. | |
| | | Le-Nain Grand Correcteur
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| Sujet: Re: Les dilemmes des écrivainS Jeu 28 Juil - 3:02 | |
| Bon, alors je crois que je vais nommer Dager... L'important avant tout est que le lecteur comprenne bien tout ce qu'il se passe et ne confonde pas les personnages... | |
| | | SquallDiVeneta Commandant en Second
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| Sujet: Re: Les dilemmes des écrivainS Jeu 28 Juil - 3:04 | |
| - Le-Nain a écrit:
- Bon, alors je crois que je vais nommer Dager... L'important avant tout est que le lecteur comprenne bien tout ce qu'il se passe et ne confonde pas les personnages...
Tant qu'à faire, ce doit être la meilleure chose à faire en effet. | |
| | | Le-Nain Grand Correcteur
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| Sujet: Re: Les dilemmes des écrivainS Jeu 28 Juil - 3:09 | |
| Alors ça va donc donner : - Citation :
- Otto n’avait jamais vraiment aimé les vénitiens, mais au moins, celui-là était européen, pas comme son collègue. Il s’agissait en fait d’un musulman, plutôt réservé. Il venait de rejoindre les rangs de l’Ordre et n’avait encore pas dit le moindre mot. Peut-être était-il muet pensa le Sergent qui n’avait toujours pas connaissance du nom de l’assassin qui se prénommait en fait Dager.
| |
| | | Galadas Prince du Forum
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| | | | Le-Nain Grand Correcteur
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| Sujet: Re: Les dilemmes des écrivainS Jeu 28 Juil - 12:42 | |
| Et on a décidait avec Squall que Dager, c'était un peu un nom pourri pour un assassin syrien, donc on a changé pour Bektasch ! Ça vous va ? Et j'ai commencé à poster nos récits sur Mundus Bellicus : http://www.mundusbellicus.fr/forum/showthread.php?22-Les-Aventures-de-l-Ordre-des-Chevaliers-Divins Essayez d'y passer pour dire bonjour à vos fans | |
| | | *chaos* Maître Suprème du Forum
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| Sujet: Re: Les dilemmes des écrivainS Jeu 28 Juil - 14:00 | |
| Bon plan de changer de nom mais vous en avez trouver un encore plus pourris | |
| | | Le-Nain Grand Correcteur
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| Sujet: Re: Les dilemmes des écrivainS Jeu 28 Juil - 14:10 | |
| Bah j'ai pris dans la liste des émirs de Damas au 12eme siècle... Mais si tu as mieux, je suis preneur ! | |
| | | *chaos* Maître Suprème du Forum
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| Sujet: Re: Les dilemmes des écrivainS Jeu 28 Juil - 14:11 | |
| Je vais farfouiller un peu dans mes bouquins,si je trouve mieux je te le donne | |
| | | Galadas Prince du Forum
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| Sujet: Re: Les dilemmes des écrivainS Jeu 28 Juil - 14:53 | |
| Loulou ! eunuque au service des fils de Ridwan, emir d'Alep, va regner en sous main ! Faudrait que je vous retrouve son nom complet, il était ennorme... | |
| | | Le-Nain Grand Correcteur
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| Sujet: Re: Les dilemmes des écrivainS Ven 29 Juil - 0:38 | |
| Et hop, petite suite ! - Spoiler:
De toute façon, cela n’avait pas d’importance pour Otto, les derniers jours ayant été trop amers à son goût. Le sang, la violence et la tristesse. Oui ces mots résumaient assez bien la précédente bataille. Le sang, il n’avait cessé de couler tout au long de cette triste journée. Les hommes étaient redevenus quelques temps à l’état animal : tuer, toujours tuer, ils ne pensaient alors plus qu’à cela. La seule chose désormais, qui retenait Otto dans l’Ordre des Chevaliers Divins, était la vengeance : il devait son ami Locktar. Locktar... Rien qu’en y repensant, une immense tristesse envahit son esprit. Le temps était à l’image de son humeur : en ce 30 Novembre 1151, il n’avait cessé de pleuvoir, une pluie fine et glaciale.
Durant la totalité du voyage, personne ne parlait ou presque, et seulement pour évoquer des sujets essentiels qui ne pouvaient attendre. Aucun soldat n’osait briser ce silence et Adrian Gordon aussi se montrait peu loquace, profitant pleinement de ces moments de calme et de sérénité qui tranchaient avec la progression difficile du groupe dans la boue hongroise. On aurait presque pu penser être en train d’assister à un cortège funèbre tellement les soldats avançaient tristement à travers les collines, les champs hongrois depuis déjà plusieurs jours. D’ailleurs, dans ces conditions, quelques hommes tombés malencontreusement sur ce terrain difficile n’avaient pas échappé aux blessures : l’un d’eux s’était même foulé la cheville le dixième jour et il se reposait sur son frère Warren pour avancer. Bien évidemment, cela ralentissait un peu le groupe ce qui ne plaisait guère au Sergent Von Kassel et l’agaçait fortement même s’il n’aurait jamais envisagé d’abandonner le plus faible de ses hommes.
Enfin, après plus d’une quinzaine de jours de marche et alors que la nuit commençait à tomber, les éclaireurs improvisés s’apprêtaient à s’arrêter pour monter leur camp comme chaque soir suivant une longue et éprouvante journée de marche. Otto Von Kassel demanda juste à ses hommes un dernier effort pour atteindre le sommet d’une butte, cinq cents mètres plus haut. Personne ne broncha et quelques minutes plus tard, tous parvinrent à gravir cette modeste côte. Les faibles lumières qu’ils aperçurent ensuite en contrebas les émerveillèrent : ils n’étaient plus très loin de ce qui semblait être un petit village hongrois. A cette vue, le moral d’Otto remontât quelque peu et il harangua ses compagnons qui, malgré la fatigue, étaient de nouveau motivés pour reprendre à l’idée qu’ils pourraient passer la nuit dans ce village et non plus dans un des nombreux marécages hongrois.
Le groupe s’approcha prudemment alors qu’il pénétrait par une large entrée dans le village entouré par une frêle palissade en bois. Les soldats, Otto en tête et Adrian juste derrière, avancèrent dans l’obscurité en jetant des regards autour d’eux pour prévenir toute embuscade. Soudain, ils entendirent un bruit, sûrement des villageois qui couraient. Instinctivement, chacun sortit ses armes et se retourna vers la porte par laquelle ils étaient entrée : celle-ci était désormais obstruée par une bonne centaine d’hommes. Ceux-ci étaient armés de fourches ou de faux mais il semblait terrorisé, malgré leur nombre important et n’osaient s’approcher des soldats de l’Ordre. D’ailleurs, leur mine faisait froid dans le dos. Face à face, les deux camps se jaugeaient, personne n’effectuant le moindre mouvement de peur de provoquer l’adversaire. Cela dura plusieurs minutes, alors que la quasi-totalité du reste des villageois s’amoncelait autour de la place centrale du village, par curiosité, pour assister à cette improbable confrontation. Et puis finalement, un homme de haute stature qui semblait être le chef du village s’avança et parcourut les quelques dizaines de mètres le séparant des soldats de l’Ordre.
- Qui êtes-vous ? Demanda-t-il durement, ne voulant pas laisser paraître sa crainte à la vue de l’équipement des troupes de l’Ordre et de leur professionnalisme.
- Nous sommes un groupe d’éclaireurs appartenant à l’Ordre des Chevaliers Divins ! Dit Otto Von Kassel d’un ton grave en s’avançant légèrement vers son interlocuteur. Nos intentions sont pacifiques et nous ne désirons que passer une nuit au chaud en attendant de repartir demain matin. Nous ne vous voulons aucun mal mais je vous conseille de baisser vos armes sinon, nombre d’entre vous mourront.
A ces paroles et malgré le surnombre des villageois, ceux-ci se relâchèrent et leurs armes tombèrent simultanément au sol tandis qu’Adrian et ses compagnons rangeaient les leurs. Les mines des hommes et femmes du village se firent alors plus joyeuses et ils devinrent plus chaleureux avec leurs visiteurs.
- Ah… Dit alors le chef de ce petit bourg. Alors pardonnez-nous notre accueil, mais…
Il commença alors à bafouiller quelques paroles incompréhensibles. Otto s’interrogea sur ce qui pouvait bien préoccupé l’homme qui visiblement, avait bien du mal à cacher sa peur : le Sergent pouvait la discerner dans ses yeux…
- Très bien, continua-t-il, se reprenant avec une voix forte et intelligible cette fois-ci. Vous êtes les bienvenus à Rajka. Venez, nous allons prendre un verre dans notre taverne.
Otto, las, acquiesça et suivit le chef du village. Adrian Gordon et les autres soldats de l’Ordre les accompagnèrent : eux aussi comptaient bien profiter d’une bonne chopine de bière après ces quelques jours de galère, et avant de reprendre la route le lendemain matin de très bonne heure sans doute. Finalement, tout le monde était prêt à faire confiance aux villageois de Rajka. Pendant ce temps, le Sergent s’assit à la plus grande table du modeste établissement et écouta ce qu’avait à lui dire son interlocuteur.
- Je… Vous … Enfin pardonnez notre accueil, bredouilla-t-il. C’est que, depuis quelques temps, un homme nommé Boleslav se prétend être le Seigneur de ces terres. Il est cruel et fourbe. Au début on pensait qu’il était seul et qu’il ne serait pas dangereux. Mais… continua-t-il, apeuré, il a su rallier des partisans à sa cause : des brigands, des mercenaires… Bref, toutes sortes de crapules. Désormais, ses sbires viennent souvent ici pour piller et enlever nos femmes. Je… Nous ne savons plus quoi faire, sanglota-t-il.
Otto, en entendant les paroles du villageois, se dit que lui et ses hommes n’avaient vraiment pas le droit de se plaindre. Néanmoins, il sentait ses paupières tombées sur ses yeux, signe qu’une grande fatigue l’envahissait.
- Désolé, dit-il, malheureusement, mes hommes et moi, nous devons nous reposer. Et demain, nous devons repartir tôt, notre mission n’est pas terminée…
Quelques minutes s’écoulèrent dans le silence tandis que certains comme Adrian, qui avait déjà eu le temps d’aiguiser sa claymore, étaient surtout préoccupés à se remplir l’estomac et ne s’étaient intéressés que peu à la discussion qui venait d’avoir lieu. Finalement, le chef du village les conduisit dans une grange où les chevaliers pourraient dormir sur la paille. Il partit néanmoins aussitôt, après leur avoir souhaité de passer une bonne nuit. Les membres de l’Ordre se déshabillèrent ensuite rapidement, autant chacun leur armure puis se couchèrent afin d’être en forme le lendemain qui serait une nouvelle fois une longue course à travers les terres hongroises. Quant à Otto, une fois allongé, il poussa un soupir de soulagement : il allait enfin pouvoir rêver à une vie meilleure…
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| | | Le-Nain Grand Correcteur
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| Sujet: Re: Les dilemmes des écrivainS Ven 29 Juil - 23:29 | |
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| | | SquallDiVeneta Commandant en Second
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| Sujet: Re: Les dilemmes des écrivainS Ven 29 Juil - 23:36 | |
| Pas grand chose non, ça développe des choses qu'on a écrit il y a fort fort longtemps, ça fait bizarre mais bon, c'est la nostalgie sans doute et le décallage avec ce qu'il se fait maintenant. Pour les fautes j'ai trop la tête à ça je vais me concentrer sur mes pages de ce soir mais rien ne m'a sauté aux yeux. Bon courage pour la suite en tout cas. | |
| | | Le-Nain Grand Correcteur
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| Sujet: Re: Les dilemmes des écrivainS Ven 29 Juil - 23:39 | |
| OK merci !
La suite ne sera pas pour tout de suite, je pars demain jusqu'au dimanche 7 et même si j'aurai une connexion internet, ce sera pour lire et éventuellement corriger vos récits plutôt que pour écrire je pense. | |
| | | SquallDiVeneta Commandant en Second
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| Sujet: Re: Les dilemmes des écrivainS Ven 12 Aoû - 3:34 | |
| Pas beaucoup de temps cette semaine pour l'écriture, mais avec le week-end de trois jours que j'ai ça va aller je pense pouvoir lancer un autre sujet sur ma partie, étoffer le background (histoires de perso, chronologies, etc.) J'ai déjà un peu mis à jour le résumé des missions de l'Ordre (historique de l'ordre dans les archives). Putain de boulot, ça bouffe du temps mine de rien...Castorama Metz, rayon outillage bonjour ! ...Saleté de toc... | |
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| Sujet: Re: Les dilemmes des écrivainS | |
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