Une page de l'Histoire

Mission, «Restons sur nos gardes»par Peter von Soukhen

Comme prévu j’avançais dans la forêt avec mes camarades. Dans ma tête se bousculaient les souvenirs de Erwan Kervadec partit devant avec pour objectif risqué d’accaparer l’attention des brigands et les dires du seigneur Sopraluk parlant de la dangerosité de ces brigands. Sur mon chemin je trouvais une sentinelle égorgée probablement par Erwan…seulement, deux brigands l’avaient aussi vu et s’étaient approchés du cadavre de leurs compagnons. Ils se penchèrent et dirent quelque chose dans une langue incompréhensible pour moi, j’en profitai pour me jeter sur eux, fracassa le crane du premier avec mon écu, puis j’étrangla le deuxième avec mes propres mains. Cette façon de combattre ne me plaisait guère mais le grand maître nous avait recommandé la discrétion et la rapidité.

Mon groupe progressait toujours dans la forêt en une sorte de ligne qui se refermait peu à peu sur le camp ennemi, de temps à autre on attendait un petit râle ou un gémissement signifiant que l’un de mes camarades abattait un brigand. Enfin nous émergeâmes de la forêt et je regardait le fortin avant d’entendre plusieurs sons ,trop familier à mon goût, de combat.

Appelant mes amis, je courai vers l’origine du bruit et je fut très rapidement servi .Erwan de Kervadec était en train d’affronter la plupart des brigands avec juste une dague. <<venez m’aider vous autres Fortes in Fide>> hurlai-je aux cinq soldats que je dirigeais , il me portèrent par dessus le mur et, sautant depuis le rebords, je me jetais sur un rebelle sur le point d’achever Erwan. Je l’assomait avec mon bouclier puis je sortis ma masse d’arme et me mis à frapper en tout sens en même temps que mes hommes émergeaient à leurs tour dans la coure du fortins. Je trainai le corps sans vie de mon camarade Breton vers la porte et teint à distance l’ennemi pendant que mes compagnons ouvrait les batants pour laisser entrer le reste de mon groupe qui foncèrent sur les brigands et les massacrèrent jusqu’au dernier .

Je remarquait que Erwan commancait enfin à remuer, alors enfin je me laissait tomber et mendormit sous le coup de la fatigue

Lorsque je me reveillait j apprit que l opperation avait t un succes et que je pouvait enfin penser aller dormir dans un lit


critique de la mission de Pethesoukhos:

Bien que je puisse comprendre que ton clavier tes lâcher, et qu’il y a certes des fautes du à celui-ci… Ton histoire est très bonne, un grain d’originalité, une bonne dose d’action, bref, du grand ! J’ai beaucoup aimé (tout comme j’ai toujours aimé les textes de tous). La mission à de la cohérence, de quoi me donner du sourire et comme aujourd’hui je suis de bonne humeur, je distribue généreusement les points (mais ton texte est à la hauteur de ceux que je vais te donner bien entendu). Fortes In fide mon cher amie et que je puisse encore et encore te voir parmi nous.

_____Mission 2 : « Restons sur nos gardes »._____



-Halte, cria un soldat se trouvant en tête de l’armée.
Je m’arrêtai, descendit de mon cheval pour aller voir ce qui se passait. Bien que les haltes étaient nombreuses durant notre voyage, je ne voyais pas l’intérêt de celle-ci. La nuit était proche et le château de Bordir également. A la vue du seigneur Sopraluk, j’enlevai mon heaume et je m’inclinai. Je ne pus m’empêcher de lui demandai ce qui se passait. Il resta silencieux pendant de nombreuses secondes, puis dit d’une voix tremblante :
-Il se trouve que d’après nos informations, ce bois est truffé de brigands et hérétiques en tous genres, et ce pont est notre seul chemin.
Les mines se firent graves et les pèlerins qui nous accompagnaient s’affaissèrent. Quand a moi, je regardai tristement les pins noirs qui nous narguaient tel Lucifer attirant un naïf dans ses griffes démoniaques. Pendant que les différents seigneurs analysaient la situation, je repensai à c’est derniers jours. Nous voyagions depuis un mois, au début en nombre limité mais plus nous nous rapprochions de la Terre Sainte plus nos rangs grossissaient. Malgré la pluie, la neige et le vent, Dieu nous avait protégé et avait veillé sur nous. Mais il semblerait que cet étrange pays qu’est la Bulgarie soit délaissé de sa sainteté. J’étais toujours perdu dans mes pensées quand j’entendis Messire Sopraluk crier aux hommes le silence. Il exposa rapidement la situation et expliqua selon lui le meilleur plan à exécuter pour ce cas précis était qu’il fallait envoyer un petit groupe d’éclaireurs pour débusquer les rebelles des bois. Sans réfléchir je me portai volontaire pour mener à bien cette mission, je fus suivi par mes compagnons d’armes, il y avait Erwan, Xamarius, Peter et Knight, et un nouveau gars que je n’avais jamais vu. Sans doute un prêtre dénué du sens du combat, bah tant pis il ira plus vite rejoindre Dieux. Nous avions une demi-heure pour nous préparer, je confiai mon cheval à mon valet ainsi que mon armure, pour cette mission la discrétion était de mise. Le soleil commençait déjà à reculer au profit des ombres de la nuit, quand nous nous dirigeâmes vers l’orée de la forêt. Le groupe était silencieux et nous marchions prudemment. D’après nos informations, les rebelles appréciaient les flèches. Une fois les premiers bois dépassés, mes compagnons et moi-même nous nous mîmes à couvert avant de s’espacer de plusieurs pas. J’étais occuper un marcher lorsque une grosse pluie tomba, les gouttes n’en pouvait plus de tomber. Je vis un rebelle en train de se soulager contre un arbre, lentement je dégainai mon épée et je lui tranchai la gorge. Pardons de t’avoir empêcher de finir un si bon moment pensais-je, soudain j’entendis une flèche siffler, je fonçai dans la dite direction, un archer bulgare s’apprêtai à pourfendre Xamarius, rapidement je lançai mon couteau et il s’affaissa lourdement sur le sol mouillé.
-Pour Dieu, criais-je.
Et je m’enfonçai plus loin dans ces sombres bois. Après avoir débusqué quelques rebelles, j’arrivai devant un campement, je fus rapidement rejoins par mes compagnons, tous étaient là même le prêtre. Il y avait de nombreux rebelles tous aussi fourbes que les autres. Si nous attaquions de front s’en était fini de nous. Priant Dieu de nous sortir de ce mauvais pas, Erwan proposa un plan. Il était risqué mais si il fonctionnait, les rebelles iraient souffrir mille morts au royaume de Belzébuth. Alors il partit seul dans ce maudit campement. Les minutes étaient longues, j’affûtai ma lame sans grande conviction pendant que Xamarius comptait et recomptait ses flèches sans fin. Quand enfin, je pus entendre le cliquetis des armes et les cris de détresses de la part de mon ami Erwan. Peter mon supérieur partit en trombe et hurla d’une voix forte Fortes in Fide. La rage m’envahit et je hurlai en chargeant, la force de Dieu nous aidait dans ce combat, j’abattis de nombreux ennemis ce jour-ci mais je perdis aussi le peu d’humanité qu’il me restait. Le campement n’était plus que ruine. Peu après le combat, nous pensâmes Erwan de ses blessures et brûlâmes les tentes des rebelles. Quand aux carcasses des rebelles, les vautours s’en chargeront


Critique de la mission de tandem_93 :

Bon récit, j’ai beaucoup apprécié tes lignes. Un texte qui suit ceux des autres quoi qu’il me semble qu’à la fin tu trompes et que Erwan et en fait emmener dans une église mais ce n’est qu’un détail auquel je ne ferai pas attention (je suis de bonne humeur ces temps-ci). Non, restons sérieux, je suis très heureux de t’avoir parmi nous, et en espèrent que l’on te voit encore et encore. Ta note sera maximale, en plus de cela tu as fait beaucoup d’effort sur l’orthographe et j’aime ça.

Mission « Sauvons les » par Kimmuriel d’Exeter.


Le chef Sopraluk avait ordonné qu’on libère les pèlerins prisonniers, il en serait ainsi.
Durant le trajet jusqu’au camp, la pression sur les hommes qui m’entourait montait de pas en pas. Je put voir le regard que Lord Emmerick posa sur Al Assel d’Al Minya au moment ou il nous quitta pour aller remplir sa mission. P

Le campement était en vu, notre groupe entra discrètement, profitant des couverts offert par la forêt, pendant que je tuais les sentinelles posté sur des tours de fortunes une par une. J’entendais le cliquetis de leur armure lorsqu’elles tombaient au sol. Mes compagnons tuaient les soldats endormis, ce qui me répugnait, mais nous n’avions pas d’autre choix. Dieu voulait qu’ils meurts et il en serait ainsi. La majorité des soldats entourant la tente des prisonniers étaient étaient égorgés et nous n’eûmes aucun mal à massacrer les gardes qui se trouvais dans la tente. Nous sortîmes vite du campement avec les pèlerins, mais je remarquais l’absence d’Emmerick. Peut après, j’entendit un hurlement et je me précipita avec un camarades pour voir Emmerick à genou, l’épaule en sang, au milieu des rebelles qui tenait une femme prisonnière.

Pourquoi les rebelles ne l’avaient-ils pas tuer?Avait-il vraiment tenter de libérer la femme? Dans ça cas, mon ami était devenu fou. Mais au fond de moi, je savais que j’aurais fais pareil si je m’étais retrouver dans la même situation. Mais Emmerick allait devoir fournir des explications au seigneur Sopraluk s’il s’en sortait vivant. Désobéire de la sorte allait être sanctionné durement, de plus que la mission de sauvetage serait sans doute sans répit.

Ne pouvant rien faire, nous partîmes pour mettre au point un plan sauver notre ami


critique de la mission de Terrible magic :

Très bon récit, avec ceux qu’il faut mais j’ai quand même des choses à te reprocher. Ton texte est je crains un petit peu court, je ne veux pas insinuer que tu n’es pas trop foulé, car j’ai aimé ton récit mais tâche de faire quelque chose de plus long la prochaine fois. Sinon, il y a de l’action, de la cohérence (comme je l’avais demandé) et bien entendu je ne sanctionnerai pas l’échec de la mission, car ce n’est pas dans mes intentions. Heureux de t’avoir avec nous soldats, que dieu te garde !