Une page de l'Histoire

Mission, « Au clair de Lune ». (0/2 Objectifs accomplies)

Le capitaine rebelle français , Raymond de Bourget est une fripouille, il pille les villages français alentours, massacre la population et brûle les chaumières. Son armée est principalement formés de mercenaires, se ne sont pas des rebelles, mais lui en est bien un. Ses agissements ont provoqué le courroux du roi de France. Celui-ci ne peut intervenir avec son armée il guerroie contre les anglais et mobilise ses hommes principalement dans le Nord de son empire.

Notre aide est impératif, le Roi de France nous mande il faut réagir au plus vite, il a besoin de L’Ordre des Chevaliers Divins. Notre plan est simple ; Raymond de Bourget a une seigneurie près du Tarn, nous le coincerons là-bas et le tueront. Mais le siège ne doit pas être trop long (pour une perte d’homme minimale), il faut détruire les ressources dans ses entrepôts avant que nos hommes assiègent son château.

C’est à vous que reviens cette mission. Cette nuit, vous serez menez au château vous et une vingtaine d’hommes. Votre but est de rentrer à l’intérieur des murs et de saboter l’entrepôt. Un homme expert en sabotage vous suivra, il faut en aucun cas qu’il meurt ! Si vous croisez le capitaine et que vous avez l’occasion de le tuez, faites-le. Mais cette occasion n’est que très peu prévisible.

Dieu reconnaître les siens !


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Objectif de XamariusCODfan :

Vous serez de la partie, accompagnez le groupe, aidez-les à rentrer au château par la porte Ouest et détruisais l’entrepôt. Vous êtes un expert en arc, nous avons confiance en vous et en vos flèches. Eliminez quand il le faut, tuez discrètement et ne laissez pas le saboteur mourir. Attention, la garde est restreinte mais si vous êtes repérez attendez-vous à une résistance. Nous vous avons donner des cordes et des grappins pour que vous puissiez escalader les murs de bois. N’oubliez pas que vous êtes plusieurs, agissez ensemble. Les ombres de la nuit devraient vous cachez et l’incendie de l’entrepôt facilitera la couverture de votre fuite.

Objectif de Knight-volgohan :

Comme vos camarades précédents, vous participerait à cette mission. Mais au lieu de vous frayer un chemin vers l’entrepôt, nous avons besoin de vous pour récupérer des informations. Chercher dans le camps avant que l’entrepôt prennent feu, nous devons trouver un indice, quelque chose, n’importe quoi qui puissent nous mener à d’autres hérétiques. Il nous faut des noms ! On a parlé d’une « coalition d’hérétiques » agissant principalement en territoire germanique. Je vous demande de le faire maintenant car après le siège, tout aura brûler est le moindre indice aura disparu sous les braises. Dès que le feu aura pris et l’alerte donnée, partez avec les autres. Attention, vous aussi vous serez amenez à vous battre. Ah oui, vous posséder vous aussi un grappin et un corde pour escalader les murs du château.


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Mission, « Promenons-nous dans les bois… » (0/2 objectifs accomplies)

Cette fois-ci, l’hérétiques allemand Dhersatre s’est enfuie du royaume français. Nous le traquons depuis plus deux trois semaines, lui et sa garnisons nous échappe. Mais nos éclaireurs l’ont suivie jusqu’aux frontières entre France et Saint Empire Romain Germanique. Dans la forêt noire, ce chien d’infidèle s’est arrêté. Il a dressé quelques tentes au milieu d’une clairière entourée d’arbres et de pins, seule un large chemin y mène.

L’endroit est bien gardé, sa garnison est sur le qui-vive. L’hérétique a prévu de se rendre à Nuremberg pour faire profiter à la population germanique ses paroles malsaines, qui n’évoquent que mauvais Dieu et rebellions. Il faut l’arrêter avant !

L’Ordre des Chevaliers Divins a demandé à un groupe de cavaliers de récupérer l’hérétiques et d’éliminer sa gardes. Mais cet infidèle est bien protégé, ses vougiers feront face jusqu’à la mort et la tâche sera bien difficile. Si l’hérétiques s’enfuit, rattrapez-le, il ne dois pas s’échapper. Quelque soit l’état qu’il aura quand vous le ramènerez, nous voulons le voir, mort ou vif.

Les cavaliers seront sous le commandement du capitaine Haisher, ce n’est pas le meilleur capitaine, il a déjà fait pas mal de mésaventure mais il est le seul disponible. J’espère qu’il n’arrivera rien de grave. Les chevaux vous serviront à rattraper l’hérétique et sa suite, mais une fois près du camp, je vous conseil de marcher à pied, question de discrétion. Vous n’aurez que vos armes pour vous battre, attentions, vous combattrez à l’aube, vous aurez l’effet de surprise, mais ne gâchez pas cet avantage sur l’ennemi.


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Objectif de Pethesoukhos :

Vous partez aussi pour la forêt noire. Vos origines germaniques vous ont peut être amenés à rencontrer cette sombre forêt, si c’est le cas, votre aide sera utile pendant la mission, pour repérer les lieux. Faite attention à vous, l’aube est frais et très brumeux dans cette région là. Ne perdez pas la vue d’un ennemie, il en va de votre vie. Profitez des arbres pour vous approchez au maximum du camp. Votre cheval ne vous sera point utile pour la discrétion, je vous conseil la marche. L’hérétiques possède des hommes d’expérience, il sont difficile à battre. Frayer vous un chemin jusqu’à la tente de ce chien et tuez-le. J’ai bien peur que le capitaine Haisher (qui vous mènera), soit un peu incompétent et risque d’éveiller la garde. Enfin bref, tuez-en le plus possibles, que Dieu vous garde tous.

Objectif de dullbrain :

Vous partirez aussi en territoire germanique. Nos avons besoin de vos talent d’escrime pour venir à bout de ses rebelles. Bien que votre mission soit la même que vos camarades ; trouvez Dhersatre et le ramener mort ou vif. Profiter des pins pour vous approchez des tentes ennemies. Je vous demanderai aussi de chercher des informations sur l’hérétique. Plus précisément sur une « coalition d’hérétiques » repérée depuis peu en Europe et principalement dans le Saint Empire Romain Germanique. Localiser l’endroit de leur prochains mouvements rebelles. Vous pouvez interroger des soldats ou fouiller les tentes. Votre capitaine Haisher n’est pas des plus « fins » alors faite attention à vous…

La mission de Xamarius


Je suis accompagner de 5 hommes, un Saboteur qui a pour but de saboter l´entrepot, 2 épéistes léger et 3 assassins,
cela m´est emplement suffisant pour remplire mes Objetctifs et tenter de tuer Raymond de Bourget.
C´est la pleine lune , j´avance avec ma petite troupe nous arrivons bientot devant les mur, mes hommes sortent leurs grappins.
arriver en haut j´egorgue discretement le gardien poster pres d´une tour, du haut de cette tour je pour dominer de mon arc tout le côter ouest du Chateau.
J´ordonne a mon equipe de ce diriger discretement vers l´entrepot, de mon arc, je couvrirai leurs déplacements tout en gardant un oeil sur la Tour du chateau.
J´ai un parfait emplacement je peut voir le trone de Raymond quand le mement sera venu, je le trenspèrserai d´une fleche dans le coeur.
Mes hommes avancent, un epeiste réduit un garde au silence d´un coup d´épée bien placer,
diable! un garde en haut de la Tour du chateau les a vue, je sort une fleche, la place sur l´encoche, ferme l´oeil gauche.....le garde cour il, ce précipite vers la cloche,
trop tard il gît sur le sol une fleche dans le cou. Mon groupe poursuit l´avancer vers l´entrepot à pas feutrés. J´observe le chateau avec un oeil de lynx et voie Raymond qui s´asseoi sur son trône,
c´est le moment! mais il y a trop de gardes autour ils vont sonner l´alerte cela pourai nuir à mon compagnon qui tente de récupérer des documents je vais devoir attendre que les garde ailles à l´entrepot en flammes.
Ma troupe tue tout ce qui ce dressent devant eux et ils arrivent bientot a l´entrepot, sans perdre de temp, le saboteur y met le feu.
comme je m´y attendais tout les gardes ce précipitent vers l´incendie laissant Raymond seul.
Je fait signe a mes hommes de revenir.
Mes yeux ce tournes alors vers Raymond seul sur son trone je sort une fleche, Bande mon arc et me concentre pour viser le coeur de Raymond,
pour qu´il ne survive pas! La fleche est lachée et attein parfaitement sa cible.
Nous fuions le chateau plusieurs minutes plus tard l´alerte est sonnée ils ont découvert le corp de Raymond de Bourget!
Mission accomplit, pourvu que les autres ai eut le temp de s´emparer des documents


Critique de la mission de XamariusCODfan

XamariusCODfan, la mission que vous avez accomplie est une pure réussite. Vous avez su mener un groupe d´homme (malgrès votre grade) et vos flèches ont été d´un grand secour. Vous avez pris les bonnes initiatives au bon moment. De plus la fripouille Raymond de Bourget dort maintenant six pieds sous terre (grâce à vous). Ce rebelle ne terrorisera plus les populations. Vous avez pris en compte que Knight-volgohan était en mission avec vous (ex: ligne 19). Bref c´est un bon début pour vous. Le seul repoche à vous faire c´est les fautes d´orthographes et la lisibilité du texte (attention, il est préférable d´écrire au passé).

Mission, « Promenons-nous dans les bois… »par Pethesoukhos

Comme le grand maître me l ‘a ordonné je pénètre en Wurtemberg,`région où se trouve la Forêt noire qui abriterait les hérétique de Dehrsatre. Nous sommes menés par le capitaine Haisher qui semble à première vue un piètre général, pourvu que son incompétence ne nous fasse pas échouer dans notre mission.

La Forêt Noire est en vue et nous campons prêt d’un village à la lisière. Le capitaine m’ordonne de partir avec deux compatriotes récolter des informations sur l’hérétique, les autres resteront cachés jusqu´à notre retour.

J’entre dans une taverne tandis que mes deux compagnons font le guet à l’entrée. Je commande une bière et écoute les conversations. Mes oreilles sont attirées par les dires de deux hommes assis dans un coin, leurs vouges et boucliers posé à côtés …

- Dehsatre sera bientôt prèts à lancer son assaut …

- Pourvu que le duc ne soit pas au courant.

- Dans ce cas nous le battrons une nouvelle fois, il a toujours fermé les les yeux .

- Stuttgart est bien fortifiée depuis quelque temps…

- Dehsatre sera comment faire, il le sait toujours…mais il faut rentrer au camp.

Les deux vougiers sortent de la Taverne , je fait un signe de tête à mes compagnons qui les suivent. Brusquement l’un des vougier se retourne et embroche un des miens. Je sors rapidement ma masse et écrabouille sa tête tandis que l’autre jette ses armes devant mon homme. Nous le conduisons au camp ou il parle de la piste qui mène dans la base de Dehsatre.

Grâce à ses indications nous arrivons en vue du campement de Dehsatre ,nous sommes au matin et les guerriers hérétiques doivent être en train de se lever. Je fait part de cela au capitaine qui refute que nous pouvons les avoir sans problème à cheval.

Malgré moi je suis obligé d’obeir et nous foncons au galop vers l’ennemi, des flèches sortent des feuilles et abattent plusieurs des notres, les arbres nous ralentissent et lorsque nous débarquons enfin dans la clairière où se trouve le camp ,des vougiers ennemis forment un mur sur lequel s’écrasent mes pauvre compagnons. Je déssens de cheval et sort ma masse pour pouvoir mieux les affronter mais nous sommes désormais inférieur en nombres et le combat semble perdu. Soudain une flèche maladroite de plante dans l’épaule du vougier face à moi et j’en profite pour envoyer un violent coup d’écu qui le fait tomber à la reverse ,moi et les survivant profitons de cette brèche pour nous y engoufrer et semer le désordre dans les rangs ennemis. Les hérétique s’enfuient bientôt en tout sens et je prend 3 hommes avec moi pour entrer dans la tente de commandement . Nous sommes acueillis par Dehsatre et 5 chevaliers renégats en armure qui engagent le combat avec moi et mes hommes. Je donne un coup de masse dans le heaume d’un d0entre eux qui a le crane fracassé et me fraye un chemin vers Dehsatre que j’assome avec mon écu .2 chevaliers sont encore debout mis ils sont rapidement vaincu sous le nombres de mes compagnons qui on entretemps pris le contrôle de la base .

L’incompétence de Haisher nous à fait perdre la moitié de nos hommes mais la mission est accomplis et Dehsatre et prisonnier .



Critique de la mission de Pethesoukhos

Pethesoukhos, vous avez été plus qu´important pour la mission. Grâce à vous, nous connaissons la prochaine cibles des rebelles; Stuttgart. Nous tenons aussi Dehsatre (toujours grâce à vous). Nous avons pu avertir le Duc à temps qui a pris des initiatives pour protéger sa cité. Mais sans Dehsatre, le siège des hérétiques échouera surement. Malgrès votre grès, vous avez été obligé de suivre les ordres de cet imbécile d´Haisher, mais votre courage au combat vous a permis de vaincre. La bataille fut rude, mais se sont les hérétiques qui se sont fait occire. Et en plus, nous tenons ce batârd de Dehsatre!
En tout cas, il est sur que votre présence au sein de notre Ordre est bonne, vous êtes sur la bonne voie...

Le mission de Knight-volgohan

Quand la nuit fut tombé, notre groupe se sépara en deux. Discrètement, moi-même et quelques de mes confrères passèrent par le côté Est du château en évitant la porte, qui était trop bien gardé. Les cordes et les grappins nous permîmes de passé le mur de bois haut de quelques mêtre. Une fois de l’autre côté, nous nous tapîmes dans l’ombre, pour éviter le regard des ennemies. De loin, on pouvait aperçevoir les mouvements de l’autre groupe et leurs silhouetes qui avançaient vers l’entrepôt. Il fallait se presser, avant que l’entrepôt prene feu. Toujours à l’affut, nous nous faufilâmes vers la caserne du château. Mais l’entrée était bien gardé , deux hommes d’armes la protégé. Le simple bruit de nos pas les alertèrent, mais avant qu’ils ne put remarquer notre présance, j’en égorgea un et l’autre fut assomer d’une pierre. Pendant que les autres s’occuper du corps du soldat, je rentra dans la caserne, l’ombre tapissait la pièce mais la lueur de la Lune me permis d’apercevoir les hommes qui dormaient à même le sol. Je les évita à pas de loup et je découvris un coffre dans lequel était caché quelques parchemins. Le temps ne me permis pas de les regarder alors je pris l’ensemble. Mais au moment ou je rejoignis mais confrères, l’entrepôt pris feu, provoquant ainsi la panique dans tous le château. Les gardes sortirent de la caserne, d’autres courrait un peu partout dans la cour. Ce fut une terrible panique autant pour eux que pour nous. L’ombre caché nos visages mais… quelques hommes d’armes avaient remarqué notre tenue quelque peu diférente. Le temps que j’enfonce ma lance dans l’un d’entre eux, les autres furent tuer par mes amis. Nous courûme jusqu’aux murs que nous escaladâmes aussitôt. Mais des archers qui avaient suivit notre fuite, décochèrent leur flèches sur nous. La porté était bonne nous étions perdu. Je bloqua les quelques unes qui vèrent sur moi avec mon bouclier, j’en sortit vivant. Mais ce ne fut pas le cas pour tous, deux des notres moururent par les flèches. Le temps de sortirent du château nous nous enfuyâmes vers les bosquets. La mission était terminé. J’avais les parchemins, je pu jeté un coup d’œil, certains nous étaient inutiles mais quelques uns fesait par d’un certain « Grauchy » et de "Derbroumer" aussi il parlé d’une « coalition hérétique ». Sur d’autres, paraiçaient les plans d’une ville, Stuttgart. Pourquoi ? va savoir mais les parchemins nous seront certainemant utiles.



Critique de la mission de Knight-volgohan

La mission que vous avez mené à été des plus importantes qu´il soit. Malgrès que deux de nos hommes soient morts (paix à leurs âmes), vous avez pu récupérer des parchemins importants. Nous avons maintenant deux noms; Grauchy qui est un rebelle polonais et Derbroumer un baron français envoyé en terre sainte depuis deux mois. Nous examinerons leur raport avec le capitaine Raymond de Bourget plus tard. Aussi, nous en avons apris un peu plus sur cette coalition hérétiques. Nous vous expliqueront plus tardivement à tous nos découvertes. Mais trève de palabres, vous avez fort bien réussis votre mission. Nous avons fait réparer votre bouclier qui été abîmé par les flèches. Vous serez bientôt opérationnelle pour une autre mission.

AVIS A TOUS :

Chers confrères de l’Ordre des Chevaliers Divins. Nos actions ces mois derniers, nous ont révélé quelques surprenantes trouvailles. La « coalition hérétiques » existe belle et bien mais sous un autre nom : «Die Koalition der gerechten» (La coalition des justes). Elle agit principalement aux régions du Saint Empire Romain Germanique (d’où son nom). Avec, ce chien de Dehsatre, elle avait l’intention de prendre Stuttgart, mais Dehsatre est entre nos mains est le siège de la ville a été annulé. Dehsatre s’est donné la mort ce matin même dans sa cellule. Nous n’avons pu tiré plus d’informations sur « Die Koalition der gerechten», mais nous pensons que Dehsartre en était un membre important.

Mais le pire reste à venir, Grauchy est un rebelle polonais récemment relâché par l’Inquisition et innocenté. « Bizarre que l’on retrouve son nom sur des parchemins au château de Raymond de Bourget ? » me dirait-vous. Non, car Grauchy connaissait bien Bourget, les parchemins nous ont révélés que Grauchy avait l’intention de se rendre en France, pour participer à l’assassinat du Roi . Il est impératif de le retrouver, nous savons qu’il se trouve en ce moment même en Pologne. Grauchy est un expert en assassinat, espionnage et sabotage. C’est un membre important de la Die Koalition der gerechten.

Mais qu’est-ce qu’à avoir Derbroumer dans toute cette histoire ? Rappelez-vous, Derbroumer est un baron français envoyé en Terre Sainte depuis bientôt trois mois. Lui aussi était sur les parchemins retrouvé au château de Raymond. Nous avons étudier son cas et le rapport qu’il avait avec le rebelle Raymond de Bourget, mais rien. Nous pensons qu’il risque d’être assassiné en Terre Sainte mais nous en avons aucunes certitudes. Nous savons même pas ou ce trouve ce baron, en ce moment même. Mais il faudra bien le trouver, si nous voulons élucider quelques mystères.

-Dehsatre(mort ce matin) : hérétique allemand d’une « coalition hérétique».
-Raymond de Bourget (mort) : Rebelle français détenant une motte féodale près du Tarn.
-Grauchy : Rebelle polonais.
-Derbroumer : Baron français envoyé en Terre Sainte.

Briefing :


Mission, « Les flèches ardentes » (0/4 objectifs accomplis).


Grauchy est le rebelle polonais que nous devons capturer, il nous le faut vivant ! Nos espions nous ont indiqué qu’il se trouvé en Pologne dans la région de Voïvodie ( en polonais Województwo wielkopolskie). Nous suivons sa trace depuis quelques mois et nous avons l’intention de le rattraper. Seul lui peut faire le lien entre Raymond de Bourget et Derbroumer (encore une fois suivait bien l’histoire pour comprendre).

Mais voilà qu’il sait fait prendre dans un petit village et nous l’avons suivie puis encerclé dans une petite forêt. Bref, il s’est réfugié sur une colline, dominant ainsi tout le bois. Nos cavaliers (nous avons de deux troupes de cavaliers) ont pénétrés la forêt mais reçoivent des volées de flèches s’ils approchent un peu trop de Grauchy . Heureusement les arbres peuvent les couvrir. Car ce n’est pas une mince affaire, deux groupes d’archers paysans protègent le rebelle polonais, et celui-ci risque à tout moment de s’enfuir rapidement avec ses gardes du corps ; car il est à cheval.

Nous devons en finir avec lui, le plan est simple, pendant que les deux groupes de cavaliers tacheront de faire diversion en attirant les flèches des archers sur eux , un autre petit groupe contourrnera la colline ou se trouve Grauchy et ses hommes et attaquera ces bâtards par derrières. Attention, Grauchy doit resté vivant, il ne doit en aucun cas mourir. Capturez-le ! Pour cette mission, il n’y aura besoin que d’hommes à cheval, vous serez commandé par le Capitaine Borowsky qui connaît bien la région. Bien entendu le Capitaine Borowsky est un peu vieux mais c’est un très bon stratège, tachez de faire se qu’il vous dit.

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« Tous les membres ci-dessous feront leur mission à cheval. »

Objectif de Peter von Soukhen:

Comme vous avez pu le constater plus au dessus, la mission est très difficile alors servez vous de votre écu ! Nom de dieu, il nous faut le moins de mort possible. Vous ferez partit du petit groupe qui contournera la colline, vous serez une dizaine. Attention aux flèches ne vous inquiéter pas, en plus de votre écu, les arbres pourront vous couvrir. Mais la forêt cache parfois des « trous » alors assurez-vous de biens avancés à couvert. Une fois derrière ces chiens, tuez-les tous sauf Grauchy ! Lui il nous le faut vivant. Terrassez aussi les archers, pour que les deux compagnies de cavaliers légers qui feront la diversions puissent intervenir et encercler plus facilement Grauchy. Vous avez bien compris ? Bon, je vous laisse, ah attendez j’oubliais de dire que vous êtes sous le commandement du Capitaine Borowsky, un très bon stratège alors obéissez-lui. Dieu est avec nous !


Objectif de Alexanderr Van Der Straten:

Comment rentrez dans le sujet… voilà, vous êtes de la mission, comme Peter von Soukhen, vous serez du groupe qui contournera la colline. Protégez-vous bien avec votre bouclier et une fois hors de porté des archers. Terrasser l’ennemie ; tuez les archers c’est important et capturez-moi Grauchy. Attention, il est difficile d’avancer avec des arcs pointés sur vous, mais c’est pour cela que le capitaine Borowsky et ses deux compagnies de cavaliers légers tacheront de faire diversion. Nous voulons de l’efficacité, du propre, pas un travail bâclé et surtout, le moins de morts possible ! Profitez du couvert des arbres pour avancer tout en restant cacher. Que Dieu vous garde !


Objectif coldblood_tigger :

Bon, vous ferez partis des cavaliers légers de Borowsky. Il faudra faire diversion, pour que les archers ennemies tirent sur vous et non sur le petit groupe qui passera par derrière. Le bouclier sera votre meilleur amis pendant tout le long de la mission. Ecoutez bien les ordres de Borowsky, cet homme peut vous sauver la vie. Une fois que le petit groupe aura atteint les archers en haut de la colline et qu’ils ommceront à combattre, vous et vos camarades vous leur viendrez en aide. Montez la colline et chargez l’ennemie, soyez efficace, puis aidez à capturer Grauchy. S’il fuit poursuivez-le. Dieu reconnaîtra les siens !


Objectif Lorenzo Ghjiventi :

Votre objectif est exactement le même que celui que coldblood_tigger. Vous ferez une diversion pour les archers gardent les yeux sur vous et votre troupe, pendant que l’autre petit groupe tentera de contourner cette foutu colline. Attention aux flèches, protégez-vous avec votre bouclier et rester à couvert avec les arbres. Dès que le petit groupe sera au combat avec les archers et Grauchy, allez leur prêter mains forte. Vous êtes sous le commandement de Borowsky, c’est lui qui décidera quand il faudra chargez sur l’ennemie, où se déplacer, etc. Capturez ou aidez à capturez Gauchy, nous le voulons vivant. S’il fuient poursuivez-le ! Dieu le veut !



Vous êtes plusieurs à faire la même mission, concertez-vous par msn pour savoir qui va faire quoi, etc. Les récits doivent être réalistes et avoir des liens entres eux. S’il y a une chose que vous n’avez pas compris n hésitez pas à me poser des questions.


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Mission, « Défendons-nous » (0/4 objectifs accomplie).


Soldats, le général allemands Von Firthër a besoin de notre aide. Son château va subir l’attaque du Général rebelle Casstroul. Ses murs sont presque sans défenses et les rebelles vont facilement triompher si personne ne lui vient en aide. Le Kaiser ne peut se permettre d’apporter des renforts, il garde ses frontières à l’Est et au Sud. L’Ordre des Chevaliers Divins interviendra et enverra ses troupes. Car Von Firthër ne détient que quelques vougiers et une vingtaines d’archers. Nos espions ont pu voir l’armée de Casstroul essentiellement composé de deux troupes de paysans, deux troupes de vougiers et sa propre cavalerie (qui lui sert de garde du corps). Ils sont aussi amené avec eux un bélier et des échelles.

Nous ne laisseront pas l’hérésie multiplier ses victoires. Nous écraserons les forces de Casstroul pendant le siège et tueront ce bâtards. Casstroul arrivera au château d’ici une semaine, juste le temps de nous y rendre avec notre force. Nous avons réunis deux troupes d’archers et une soixantaine de vougiers, de quoi épaissir la défense du château germanique. La stratégie est simple, nous avons prévu que le siège ressemblera à tous les autres sièges, c’est-à-dire que l’ennemie avancera son béliers pour casser les portes et ses échelles pour prendre les murs. Nous protégerons les murailles et la porte du Nord et Von Firthër se contentera de protéger le côté Est du château. Les ennemies risquent fortement de rentrer dans le château malgré vous, alors battez-vous coûte que coûte.

Soldats, vous obéirez à Von Firthër pendant le siège. Nous ne connaissons pas la compétence de cette homme (car il n’est pas de notre Ordre) mais il détient une bonne expérience de la guerre. Von Firthër est partit un an en croisade, d’où le nombre restreint de ses hommes à son retour. Mes frères, boutons les rebelles hors de nos respectables frontières. Les chiens doivent mourir…

Massacrons-les, Dieu reconnaîtra les siens !


Objectif Knight-volgohan :

Soldat, vous ferez partit de la défense du siège contre les rebelles. Vous serez du côté de la porte Nord. Attention à vous et protéger l’entrée avec vos confrères. Les hérétiques ne doivent pas passer. Si vous en avez l’occasion, tuer Casstroul, sa ne devrait pas trop être difficile vus que vous êtes munis d’une lance et que celui-ci est à cheval. S’il arrivait que les défenses à l’Est tombe et que l’ennemie devient bien trop supérieur, combattez jusqu’à votre dernier souffle et si la défaite est certaine, fuyez. Mais ne vous arrêtez pas tant que vous êtes sur que la victoire est encore possible. N’oubliez pas que votre équipement peut vous aider, servez de votre bouclier si les archers ennemies vous tirent dessus. Votre lance est une arme sure pour garder la distance avec votre ennemie. Vous obéirez à Von Firthër, il est bon combattant et ses gardes du corps son connus pour leur puissance de charge. Dieu est avec nous !


Objectif de Xamarius :

Xamarius, vous serez utile sur les murailles du Nord. Vous défendrez ses murailles, jusqu’à la mort s’il le faut, car n’oubliez pas que nous nous battons pour une cause juste, Dieu. L’ennemie ne doit pas franchir les murailles Nord, il sera trop difficile d’empêcher le bélier d’avancer, mais vous pourrez essayez de tuer un maximum d’hommes. La dernière mission nous a montrer combien vous était habile avec votre arc. Si Casstroul se présente et que vous ayez l’occasion de le tuer, alors n’hésitez pas (normalement celui-ci ne risquerait pas d’intervenir dans la bataille sauf s’il est sur de sa victoire). Mais l’ennemie est nombreux alors ne vous focaliser pas que sur lui. Normalement, le côté Est ne devrait pas tomber, mais si c’est le cas, continuez le combat., même au corps à corps s’il le faut. Bonne chance à vous et que Dieu vous garde.

Objectif Erwan de Kervadec :

Vous n’êtes pas un vougier mais vous êtes un brave soldat. Vous combattrez du côté Est du château avec les hommes de Von Firthër. Protégez les murailles et ses hommes (mais n’oubliez pas de vous protéger aussi). Le côté Est sera assaillit par des échelles, vous repousserai l’attaque et protégerai les archers sur les murs, votre maniement de l’épée devrait vous permettre de faire pas mal de dégât (je l’espère du moins). Si vous perdez la partie Est, repliez-vous au Nord avec nos hommes. N’oubliez pas, si l’occasion se présente, tuez Casstroul. Combattez pour l’honneur et pour Dieu. Aussi protéger Von Firthër s’il est en danger, sa mort nous attristerai gravement. Que Dieu vous aide !

Objectif Alexanderr Otto van Cassel :

Otto van Cassel , vous serez de la garde personnelle de Von Fïrther (vous serez tous à cheval), alors préparez-vous à bouger pas mal pendant le siège car vous êtes la seule unité de cavalerie. Je connais bien Von Fïrther, c’est un très bon combattant quoiqu’un peu âgée. Attendez-vous au pire avec cet homme car il n’est pas du genre à rester à l’arrière, je pense que vous aurez plusieurs fois la chance de massacrer du rebelle. Protégez le général allemand à tout prix, il doit rester vivant, mais n’oubliez pas non plus de vous protégez vous même, nous n’aimons pas perdre nos hommes. Quoiqu’il en soit, soyer prêt à tout, ne fuyez pas et battez vous jusqu’à la mort s’il le faut ! Ne vous attendez pas à recevoir des cadeaux de l’ennemie car il a massacré bien d’autres avant vous.

Mission, « Une embuscade dans la neige » (0/3 objectifs accomplies)


L’hérétiques italien Francesco Pirelli compte traverser les alpes pour se rendre en France. Il ne doit même pas atteindre la frontière. Nous ne connaissons pas exactement ses intentions mais nous savons qu’elles ne sont pas bonnes. En Italie (Territoire de Milan) cet homme à soulevé de nombreuse foules contre notre sainte foi, ses paroles sont blasphèmes et il n’est qu’un pourceaux de satan. Cette homme est un danger pour la religion est nous devons le tuer impérativement. Mais il sait qu’il risque de mourir car il y a déjà beaucoup de tentatives d’assassinat sur cette personne.

Il est accompagné de nombreux hommes, des gardes qui suivent sa cause avec conviction. Ce ne sont pas des professionnelles, mais ils sont nombreux et fanatiques au point de mourir pour leur chef. Voici le plan, simple et il doit être efficace ; Francesco passera par une forêt de pins non loin de la Savoie, c’est donc là que nous lui tendront une embuscade. Des hommes seront postés en hauteur pour faire diversion et l’assassin profitera de la situation pour tuer Francesco dans son char.

Vous serez une cinquantaine d’archers et une centaines d’hommes à pied avec épées, vouges, etc. Vous attaquerez l’arrière du convoi et l’assassin se faufilera devant pour occire ce bâtard. Une fois le meurtre commis, vous ravagerai les rangs de l’ennemie pour qu’il n’en reste aucun. Vous êtes plus expérimentez que la suite de Francesco, vous devriez prendre le dessus rapidement. Attention, protégez-vous mutuellement car ils sont plus nombreux et qu’il faut le moins de morts possible. J’y pense mais si vous avez l’occasion de capturer quelques rebelles, faites en des prisonniers et ramenez-les nous.


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Objectif de Al-Assel d´Al Minya:

Vous ferez partit de la mission bien entendu puisque vous êtes l’uns de nos seuls assassins. Votre but est simple, éliminer Francesco Pirelli. Pendant que d’autres feront diversion par derrière. Qu’ils s’engageront l ‘ennemie au combat. Et que celui-ci n’aura plus de pensé pour Francesco, vous assassinerez rapidement l’hérétique italien. Il trouve dans son chariot, il a quelques gardes du corps personnelles autour de lui mais sa devrait être facile de les esquiver (ou de les éliminer) rapidement. Une fois mort, chercher un peu autour de lui vous trouverez sûrement un parchemin signé d’un seaux peu commun. Je vous demanderez de le ramener, sans le lire ! C’est très importants, cette information doit rester secrète même auprès de mes hommes… Quand vous aurez finit votre objectif, ressortez du chariot et repartez furtivement. Bien entendu, certains ennemies tenteront de vous bloquer la route, vous avez l’autorisation de les occire, pour le bien de tous. Bref, nous ne connaissons pas vos talents d’assassin mais j’espère que votre missions sera un franc succès. Ce sera aussi un test pour voir vos capacités….
Que Dieu vous garde !


Objectif de Kimmuriel d´Exeter :

Vous vous posterez à l’affût près de nos archers. Cachez vous dans la flore et une fois l’ordre donné d’attaquer l’ennemie, n’hésiter pas à transpercé de l’infidèles ! La mission est très simple pour vous, occire, occire et occire encore l’ennemie. Nous faisons confiance à vos talents d’archers car nous savons que les anglais ponde les meilleures archers du monde. Le but est de faire une diversion et d’attaquer l’arrière du convoi, pour qu’un assassin se faufile et élimine Francesco Pirelli. Protégez-vous mutuellement, nous sommes inférieur en nombre mais nous sommes beaucoup plus expérimentez et habile au combat. Quand vous n’aurez plus de flèche, et s’il reste encore des ennemies, chargez avec votre marteau (paraît-il que vous le manier fort bien). Il ne doit plus rester d’hérétiques vivants. Ils doivent tous mourir, ce sera un exemple pour tous les autres rebelles.
Dieu reconnaîtra les siens !


Objectif Lord Emmerick:

La mission est aussi simple que difficile. Vous vous posterez dans les bras auprès des hommes d’armes et des vougiers, puis une fois l’ordre données, vous chargerez l’ennemie avec vos nouveaux compagnons d’armes. Vous attaquerez l’arrière du convoi de Francesco Pirelli, afin de faire une diversion et qu’un assassin tue ce sale hérétique. Attention, l’ennemie est supérieur en nombre, mais vous êtes bien mieux entraîné qu’eux. Vous les tuerez tous, protégez-vous ainsi que vous protéger vos frères. La bataille sera rude dans la neige, mais le froid n’arrête pas une bonne cause. Votre objectif s’arrêtera quand il n’y aura plus d’hommes vivants rebelles. Ce sera une bonne leçon pour les autres hérétiques quand ils apprendront qu’une petite force armée de l’Ordre des Chevaliers Divins à réduit à néant un ennemie supérieur en nombre.
Nous servons le tout puissant par la force de nos armes !

Mission d'Erwan de Kervadec

Après une semaine de cheminement dans des conditions climatiques somme toute éprouvantes du fait de la neige tombant sans discontinuer, nous parvînmes en vu du chastel de Von Firthër.
Sire Sopraluk n´avait point raconté d´inepties quant à la position critique de ce dernier, le Chastel-Blanc du Temple avait cet aspect avant que mes frères ne le rebâtissent.
Les coeurs se serrèrent à la vue de ces quelques pierres qui n´opposeraient qu´une résistance symbolique aux engins de siège que construisaient les rebelles.
Sentant l´athmosphère, je me dressai alors sur mes étriers, et remontai la colonne de nos vougiers et archers, les haranguant et rappelant que l´objectif notre cause dépassait de simples considérations se résumant à défendre un général qu´ils ne connaissaient pas, mais que si nous cédions, les villages alentours seraient impitoyablement rasés par ce fourbe de Casstroul.
Mes compagnons, Alexanderr van Kassel et Xamarius relayèrent mes paroles, et c´est déterminés que nous fîmes notre entrée dans le château de Von Firthër. Avec mes compagnons, nous nous présentâmes à lui.
Quelle ne fut pas ma surprise de reconnaitre le chavalier qui m´avait félicité, il y a de cela quelque temps, lors de la messe d´action de grâce à Jérusalem ! Son nom ne me rappelait rien, mais maintenant que son visage était rappelé à ma mémoire, je me souvins de ce noble chevalier dont la réputation avait traversé les limites de la principauté d´Antioche lors de son séjour en Terre Sainte.
Mais le temps pressant, les retrouvailles ne furent pas longues, mais le fait de savoir pour qui se battre et mourir, outre notre but d´extinction des rebelles, donna un moral que je qualifierai d´inébranlable à nos hommes, et donc à ceux de Von Firthër.
Une fois plaçés sous son commandement, il nous posta, mes compagnons et moi, aux endroits stratégiques de son château; je me trouvai alors au rempart est.
Le répit fut de courte durée avant que nous n´entendîmes des cors de chasse, et que nous ne vîmes un ramassis de geux de la pire espèce, qui n´auraient point démérité au gibet de Montfaucon.
Nos archers décochèrent leur traits sur leurs homologues rebelles, lesquels subirent des pertes sensibles. Mais les paysans parvinrent à dresser leurs échelles contre les murailles, aussitôt rejoints par leurs archers, qui se séparèrent de de leurs arcs pour se ruer à la curée. La déferlante submergea nos archers, et c´est pourquoi je décidai de prendre 20 vougiers avec moi afin de nous porter à leur rescousse. J´entendis des clameurs parvenant de l´entrée, les rebelles avaient fracturé la porte nord. Je décidai alors de jouer le tout pour le tout. Je pris finalement 30 vougiers avec moi pour bloquer l´accès à la tour gardant la porte est, sans quoi les rebelles se seraient répandu dans le château, envoyai le reste des vougiers à la porte nord, apportant un précieux soutien à Xamarius qui, je le pensai, en avait pour l´heure plus besoin que moi. Mes vougiers et moi formâmes un carré de défense hermétique à l´entrée de la tour, repoussant tant bien que mal les paysans. Il faut dire que ceux-ci étaient galvanisés, échaudés par le butin promis. Si ils subissaient de grandes pertes, chaque vougier tombant, outre la déchirure qu´il causait à nos coeurs, affaiblissait notre position. Vint le moment où celle ci n´était plus tenable. Je demandai alors à mes hommes si ceux ci voulaient se constituer prisonniers. Un ricanement me fis écho, sachant très bien que le terme prisonnier est inconnu des rebelles. Nous chargeâmes alors à quatre de front et moi en tête sur la muraille, et notre élan fit valser les rebelles, dont certains s´écrasèrent 6 mètres en contrebas, d´autres étant piétinés par mes vougiers, les plus chanceux ayant le privilège de mourir d´un coup de lance ou de mon épée. Le désespoir accompli parfois de bien grandes choses, tant et si bien que nous dégageâmes le chemin de rondes jusqu´à arriver aux échelles, que nous précipitâmes à l´envers, ainsi que la dizaine de rebelles y grimpant. Seul 4 vougiers étaient encore vivant, mais le mur était était libre de tout rebelles, et ce définitivement. Du moins le croyais-je. Une volée de flèches venant de la porte nord abbatit mes 4 hommes, et je ne dû ma survie qu´à l´armure du comte d´Edesse. Les rebelles avaient pris position à la porte nord, les efforts désespérés de Xamarius, que je voyais d´ici se couvrir de gloire et de sang, se heurtant à un front uni, et ce malgré le renfort des vougiers que j´avais été en mesure de lui adjoindre, ne portaient pas leurs fruits. C´est alors que tout en me précipitant pour le rejoindre, une charge menée par Von Firthër me dépassa, causant de lourds dégâts parmi les rangs des chiens qui leurs faisaient face. Seulement, il advint que Von Firthër se trouva isolé, et ce malgré la grande bravoure de Alexanderr qui se frayait un chemin jusqu´à lui. Saisissant mon épée, je trucidai un premier rebelle, tailladai le torse d´un second qui s´affala en hurlant de douleur, et fini par la planter dans la gorge d´un tierce rebelle. Je fus soudain déséquilibré et le retrouvai à terre démuni de mon épée, et un colosse s´apprêtant à m´embrocher. Je me saisi de la lance d´un vougier gisant à côté, et le transperçai avant qu´il ne mette son dessein à exécution. Ma profonde incursion dans les rangs des rebelles avait crée une grande confusion, que mit à profit Alexanderr pour ramener Von Firthër à l´abris d´un glacis de vouges mis en place par Xamarius, dont le sens tactique fut exemplaire. C´est alors que chût le général rebelle, ce qui provoqua la déroute du reste de l´armée. Von Firthër, dont le sang ne fit qu´un tour, rassembla la cavalerie, et se lança à leur poursuite, avec Alexanderr, qui me salua d´un sourire rayonnant. Xamarius était en train de rassembler les soldats lorsque j´apperçu quelque chose qui bougeait parmi le monceau de cadavres. M´approchant, quelle ne fut pas ma surprise lorsque je découvris que le général Casstroul essayait de se traîner vers la sortie, tel le pleutre et le lâche qu´il était. Je m´empressai de pointer mon épée sur sa gorge et en fis mon prisonnier.
La bataille était donc un réel succès, assombri toutefois par les nombreuses pertes que l´infériorité numérique et la motivation des rebelles, causée par le butin, nous avaient infligées.


Critique de la mission de Knight_Templar :

Mission réussie, outre le faite que vous vous soyez bien battue, libérant ainsi les remparts et le côté Est du château. Que vous ayez pris le commandement de quelques hommes avec vous. Vous avez risquez votre vie plusieurs fois pour le bien de tous et de Von firthër. Grâce notamment à vous, le sélérat Casstroul est maintenant entre nos mains. Vous nous avez montrez votre vaillance et prouver votre capacité au combat, félicitation ! Mais ne nous réjouissons pas trop, car beaucoup de nos frères d´armes sont morts. Respectez-les car ils se sont battues pour nous et pour la liberté. La seule chose que je dois vous repprochez et d´avoir oublié que Knight volgohan était aussi avec vous et que vous n´en ayez pas fait allusion (il me semble).

Mission, « Les flèches ardentes »par Pethesoukhos

Quand le chef donna l’ordre d’éperonner nos montures, je ressentit la joie d’être enfin mené par un bon capitaine, Comme convenu nous traversions la forêt, bientôt des sifflements de flèches et des cris de bataille retentirent à l’Est. Imperturbable mes compagnons et moi-même continuaient d’avancer. Heureusement les rebelles ne nous aperçûmes ont pas tout de suite si bien que cela ressemblerait presque à une promenade.

Nous fûmes vite désabusés, des flèches vinrent vers nous, mon écu en pris une et les autres se fichèrent dans les arbres. Nous sortîmes rapidement de leur ligne de tire et le silence seulement ponctué par les sabots et les cris au loin se réinstalla. Soudain le chef hurla<<préparez-vous !> >, j’ajustais ma prise sur ma lance, refermait mon poing sur la lanière mon écu et baissait la visière de mon casque.

Nous fonçâmes à toute vitesse à travers la forêt et soudain nous en sortîmes et j’aperçu enfin la colline sur laquelle se trouvait Grauchy. Au sont du <<chargez ! >> du capitaine j’abaissai ma lance et nous rentrâmes dans les rangs d’archers comme dans du beurre. Rapidement mis en déroute, les archers semèrent un vent de panique et d’incertitude qui offrit enfin un répit aux autres bataillons pour grimper sur la colline et faire irruption devant les rebelles. Comme le plus gros des troupes ennemies étaient occupées par les autres cavaliers, moi et mon groupe chargeâmes enfin la garde du corps de Grauchy composé de cavalier lourd. Le combat fût sanglant, ma lance perdue sur un archer, je jouais de ma masse d’arme contre l’ennemi, l’un d‘eu armé d’une gigantesque épée longue me porta un violent coup brisa mon écu et me désarçonna.
Un peu sonné je me relevait au milieu du combat ,le même cavalier se jeta sur moi et je fut blessé à l’épaule cars ma masse était inefficace contre une si longue épée. A côtés de moi mon camarade Alexanderr Van Der Straten affrontait Grauchy ,il perdit son épée d’une brusque passe d’arme de Grauchy et je la ressue droit les mains, profitant de cette arme providentielle je la planta dans le flanc de la monture de mon ennemi à l’épée longue qui tomba et se fit broyer la tête par ma masse d’arme.

Enfin liberé de ce dure combat je regardait autour de moi :tous les rebelles étaient mort ou en fuite .Quand à Grauchy ,mon compagnon Alexander l’avait capturé sans que je sache comment ,nul doute qu’il me le dirait et je lui rendit son épée.


Critique de la mission de Pethesoukhos:

La mission a été mené à bien, votre objectif a été accomplie. Je suis fier de vous soldat. Vous vous êtes bien battu et la perfomance au combat dont vous avez fait part, nous a vraiment mis en joie. Peu de pertes, mais beaucoup d´ennemie tué. Grauchy a été capturé, nous sommes rassurés qu´il ne soit pas mort. Bref, vous nous avez plu et nous espérons que bien d´autres missions aussi bonnes succéderont à celles que vous nous avez conté. Donner-nous votre écu, nous le répareront et venez panser vos plaies, avant qu´il ne soit trop tard.

Mission de Alexanderr Van Der Straten:

Crépuscule, pluie abondante ;
voilà qui est parfait.
Je discute avec mon capitaine Borowsky. Nous sommes assez prêt de la colline, mais les archers ne tirent pas ; problablement a cause de la pluie qui abonde, leur visibilité et leur capacité de tir sont réduite, néammoins je sens qu´ils ne vont pas tarder, j´entend au vent la voix d´un homme, cet homme s´exprime dans le langage si bizzard et si froid du Saint Empire Romain, j´aurais bien demandé a Peter von Soukhen ce que cela sinifiait, mais il vennait de partir en compagnie de ses cavaliers, dont certains marchaient sans doute vers la mort, me dis-je.
Soudain, des cris retentirent, les fleches sifllerent au dessus de nous, 7 de mes freres d´armes tombèrent, le capitaine hurlat un ordre, et nous fonçames vers l´ennemi, sous les cris des « Pour Dieu ! »

Nous percutames la 1ere compagnie d´archers, mais la 2eme s´était deja tournée vers le petit groupe qui devait contourner la colline. Ils tirerent, et j´esperait qu´ils auraient quand meme réussi à passer. Et je ne me trompait pas, ils surgirent soudain des arbres et chargèrent. La seconde, leur cris d´effroi m´emplissait de gaietée, je sus à cet instant precis que nous avions gagné. nous réduisimes facilement la 1ere compagnie en poussiere, et nos chevaliers se tournèrent vers les gardes lours de Grouchy, avec ceux de Peter et d´Alexander, nous chargeâmes, je fendit et ecrasait quelques têtes avec mon épée et mon boulier lorsque je fut desarçonné par un coup de lance et tombait de mon cheval.
Mon armure était trop lourde, et je n´arrivait pas à me relever, mais je pouvais distinguer un soldat porter un coup dur a Grouchy, qui tomba. Les rebelles fuyaient en tous sens, se faisant happer par nos hordes de cavaliers, l´un d´eux m´aidat à me relever, nous avions gagnés, mais mon cheval s´était foulé la jambe dans la chute.
C´etait à cet instant précis la seule chose qui contait pour moi, meme si mon armure était plié au thorax et que j´avais du mal a respirer.


Critique de la mission de Speddfire01:

Votre objectif a été accomplie avec succés. La foi et la perfomance que vous avez apporté lors du combat a été fantastique. Vous avez fait preuve de bon sens, malgrès que la mort a faillit vous prendre lors de la bataille. Bref, votre talents nous a épatés et nous sommes fier de vous avoir parmis-nous. En ce qui en est du texte, attention, tu passe du présent au passé, une faute très importante en français. Le récit doit être entièremment au passé...

Mission de Xamarius :

Arrivés au Chateau , nous entrâmes dans le chateau sous les acclamation des soldats de Von Firthër mais l´heure n´était pas à la fête, le General rebelle Casstroul
sera la dans quelques heures, nous devons préparer les defence.
Je me dirigea vers la muraille nord me fondant avec les archer de Von Firthër, de cette muraille je pourait pourfendre de mes fleches les hommes de Casstroul!
j´était entrain de tailler mon arc quand les rebelles furent leurs apparition, je banda alors mon arc et lache ma fleche dans la tête d´un de ces chiens de rebelles sous les regards étonnés des archer de Von Firthër qi n´auraient jamais pus toucher un soldat ennemis à cette distance.
cette fleche provoqua la colère de Casstroul qui sans plus attendre envoya le bélier et les echelles aux murailles, quelques minutes apres 20 fleches étaient parties de mon arc tuant un rebelle à chacune d´elles.
Les échelles sont dréssées sur nos murs et le bélier entama la destruction de la porte, je tire sans relache pourfendant un ennemis à chaque fleches mais les vougiers rebelles ont attein ma position grace aux echelles, je sortit alor mon épée qui jusque la ne m´avait jamais servit car jusque la aucun ennemis n´a été a porté de me trancher!Je tranche la main du premier vougier qui s´approcha et je m´enpresse de lui planter mon épée dans le torse, un autre rebelles approche par derriere, je sort ma dague et lui plante dans la tête celui-ci, pas encor mort tomba sur le sol hurlant de douleur, apres avoir mis fin à ces souvrances, je grimpait à la tour pour aider mes compagnonn archer a repousser les assaillant quand un paysan trancha le tendon de mon pied gauche, la douleur ne m´enpêche pas de le planter!Je ne peut maintenans plus poser mon pied gauche à terre, j´était encerclé quand des vougiers venu sous les ordres d´Erwan de Kervadec les trencpersa.Je serais maintenant infiniment reconaisant à Erwan de m´avoir sauvé de la mort ou pire de la capture.Von Firthër charchea, au côté de Otto van Cassel les paysans et vougiers qui s´étaient engoufrés dans la brèche que le bélier avait creusé dans la porte, les cavaliers sont bientot repoussés et Von Firthër est en difficulté.Erwan de Kervadec et venu nous aider dans la défence de la muraille nord en me demandant commen proteger Von Firthër je me rappelle mon enfance , quand mon pere me racontait les histoires de la grece , les Athénien avaient une stategie qui consistait a faire un mur infranchissable de bouclier, j´en fit de même avec 20 vougiers chaque soldat protege l´autre et ainsi de suite le General Von Firthër alla ce poster derriere le mur de bouclier.
Mes compagnons tombaient l´un apres l´autre devant mon regard, il faud dire au vougier de ce ressérés vers la porte.
-<<En avant freres d´épées repoussont l´ennemis par le fer!>> Otto van Cassel, Knight-volgohan et Erwan de Kervadec ce battaient tous comme des lion j´était remplit d´admiration pour ces hommes qui auraient donner leurs vie pour protéger des hommes qu´ils n´ont jamais vue, le sang coule de mon pied et de mes côtes car un archer rebelle m´avait toucher pendant que j´achevait un ennemis à terre.12 heures apres que Casstroul ait donner l´assaut, les rebelles étaient en déroute je vit Erwan pointer son épée sur Casstroul, il en fait son prisonnier.


Le poid de mes blessure et la fatigue pèse à l´interieure de mon corp, je m´éffondre sur le sol et perd connaissance

Critique de la mission de XamariusCODfan:

Xamarius, vos qualités d’archer, et votre expérience aux combats à aider à défendre le château. Vous nous avez encor épater. Le fait que la mission soit réussie et que votre objectif est était accomplie convenablement nous épate, mais que vous vous soyez donner à fond pour défendre vos camarades au corps à corps alors que vous êtes qu’un simple archer et encore plus étonnant. Bref, vous comptez comme un membre important pour l’Ordre, cela fait plaisir de vous avoir avec nous. A propos du récit, c’est la même erreur que Speedfire01, tu passe du passé au présent et du présent au passé, c’est très grave ! Le texte doit rester entièrement au passé.

Mission « Une embuscade dans la neige » Kimmuriel d’Exeter.


Je voyais le convoi de Francesco Pirelli avancer sous mes yeux, brûlant d’envie de me jeter à l’attaque. Je bandais mon arc en prévision de l’ordre de Lord Emmerick, mon seul compagnon anglais au sein de l’ordre, en qui j’avais toute confiance. J’espérais juste que l’assassin saurait remplir son rôle, sinon la mission serait un échec total.

Emmerick pointa sa lance vers l’ennemie et abaissa son épée, je fit de même et une volée de flèches transperça l’ennemie avant qu’il n’ait pu se rendre compte qu’il était attaqué. Une deuxième volée partait déjà, et j’ordonna aux groupes d’archers situé en face de moi de ne pas tiré sur le groupe d’ennemie que combattait Lord Emmerick, de peur de tuer nos hommes. Grâce à ma formation d’éclaireur, je réussi à repérer un chef d’unité et le tua d’une seul flèche qui le fit s‘écrouler de sa monture.

Les hérétiques étaient en situation périlleuse, ils le savaient, et presque la moitié de leurs force était réduit à l’état de cadavre. Mes hommes tiraient sans discontinuer, décimant les rebelles sans répit, tombant par dizaine, il en revenait toujours plus, mais nous fument vite à court de flèches.
Voyant vingt hommes nous charger, nous fument contraint de nous battre au corps à corps.
Je sortit mon marteau fétiche, cadeau du gouverneur de Nottingham, et me rua sur les rebelles, en criant de toute mes forces « Mourez, fils de chiennes! ». J’écrasa la tête d’un homme, puis désarma un autre d’un revers de mon arme et l’acheva en lui brisant la cage thoracique.
Ceux que je combattait n’avait aucune expérience au combat et je m’en débarrassait facilement. Des renforts ennemies arrivaient, je m’en réjouissait, mais mes compagnons n’avait pas reçu un entraînement pareil au mien pour le contact, et peinaient à repousser nos assaillants.
Très vite, je porta secours à un de mes hommes qui était en difficulté dans un combat à un contre trois. Ces gueux n’avaient-ils aucun honneur?

Par chance, un carquois de flèches se trouvait à mes pieds.
Je le ramassa, bande mon arc et décocha une flèche en direction du pauvre fou qui croyait pouvoir tuer mon camarades d’un simple coup de hache. Le trait se planta dans son cou, et il s’affala en agonisant.
Je délivrait un rideau de mort sur mes ennemies, provoquer un tel massacre avec si peu d’efforts mes transcendait littéralement.
Les autres flèches que je décocha se destinaient aux lâches qui achevaient mes hommes à terres.

Je fauchait les vies des rebelles sur mon passages, jusqu’à que je vois le carrosse du chef rebelle en flamme, le signal d’ Al-Assel d´Al Minya que la cible était éliminer. J’ordonna à ce qui restait de mes hommes de se replier et fit passer le message à Emmerick. Nos troupes se replièrent et nous laissâmes les quelque rebelles encore en vie errer dans la nature.

Sopraluk, le seigneur de l’ordre, serait très fier de nos faits d’armes en Italie.

Critique de la mission de Terrible_magic :

Encore un archer épatant, digne de notre Saint Ordre. Votre objectif a été mené à bien et les rebelles ont été massacré. De quoi faire frémir tout ceux qui voudraient s’en prendre à nous. Nous sommes très fier de vous soldat. Vous avez d’un grande efficacité et l’ennemie sans souvient encore (malgré qu’il pourrissent encore là-bas) . Moi même je suis heureux que vous soyer de l’Ordre des Chevaliers Divins et que vous ayez eu l’envie de le servir. En ce qui l’en est de votre récit, très peu de fautes et une certaine volonté de bien faire. J’ai beaucoup aimé et je pense qu’il n’y a que très peu de chose à vous reprochez, sauf que vous auriez pu faire apparaître vos amis dans votre missions mais ce n’est pas obligatoire. Faite attention de ne pas trop commander les troupe, vous n’êtes qu’un soldat pour l’instant.

La mission de Volgohan, « défendons-nous »

Le château de Von Firthër n’était point prêt à recevoir un siège d’une telle importance. Les hommes du général allemand étaient complètement abattus à l’idée de se battre face à un ennemie bien plus supérieur en nombre. Mais quand nous entrèrent dans le camps, avec nos bataillons bien armée et prêt à en venir à bout face à l’hérésie, la foi revinrent en eux. Le général Von Firthër lui-même reprit plus de l’assurance en nous voyons. Chacun se préparé au combat, avant d’enfiler ma côte de mailles, je pris le temps de prier une dernière fois : « Notre Père, qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés et ne nous soumets pas à la tentation, mais délivre-nous du mal, Amen » Puis, j’enfilais ma cotte de maille, mon bouclier et pris ma vouge fermement dans la main. Je rejoins mon groupe et Von Firthër nous indiqua de nous placer derrière la porte Nord. J’entendais les soldats germains parler ; « Mein Gott, diese Schlacht wird sicherlich der Letzte sein, den wir machen werden, vorausgesetzt, daß unser Vater mit uns ist.“ ils avaient l’air affolés mais je ne pu comprendre leur langue.
Bref, au bout de quelques heures, les rebelles était déjà à nos portes, je pu les entendre mais pas les apercevoir, car les murailles me cachaient la vue de leur armée. Je compris juste qu’ils étaient nombreux. Nous, derrière les portes, attendions l’heure venue pour nous battre. Puis, les flèches des archers sur les murailles fusèrent dans le vent, enfin le bélier ennemie frappa la porte de bois. Au bout de quelques intonations, celle-ci se brisa. Devant nous, les rebelles chargèrent. Nous réussîmes à contenir le choc mais leur rage était bien plus grande que nous l’imaginions. Le combat fut violent, ma lance transperça nombre de nos ennemies. Je reçue un violent coup sur mon bouclier qui vola en éclat. Mais je continuais à me battre, même sans protection. Les coups que je portais n’étaient pas suffisant pour contenir l’ennemie. Mes frères tombèrent l’un après l’autre sans que je puisse faire quelque chose. Les archers ne purent nous aider bien trop occupés à se battre sur les murailles.
Puis, j’entendis le son d’un cor, Von Firthër se brave général chargea avec ses cavaliers lourds la mêlée. La charge fut des plus puissante que je n’eut jamais vu. L’ennemie perdit au moins le quart de ses troupes. Mais Von Firthër était maintenant en danger et il était temps pour moi de le protéger, coûte que coûte. Je saisis un bouclier sur le sol et avec quelques hommes qui restait de ma troupe, nous fîmes preuve de beaucoup de courage. « charger mes amis, sus aux bâtards !, A MORT ! ». Face à la rage et à la force de notre union, l’ennemie recula peu à peu. Nous reçûmes aussi du soutient de quelques troupes venant de l’Est du château. J’essayer tant bien que mal de tuer les rebelles que je croisais mais nous étions très fatigués. La victoire était maintenant proche mais une épée m’embrocha le bras droit et je perdis toute combativité. Tout devint silencieux autour de moi, comme si je ne puis entendre le moindre bruits et la lumière s’assombrit peu à peu ; le sommeil m’emporta…
Je me réveillait au milieu de quelques blessé. Mon bras me faisait horriblement mal mais j’étais soignés. Devant moi, mes amis Xamarius, Erwan et Allexanderr sourirent, heureux de me revoir vivant. Ils m’expliquèrent que nous avions remportés le siège et que ce bâtard de Casstroul était prisonnier. La mission était un franc succès en plus de ça, Von firthër était vivant.


Critique de la mission de Knight Volgohan :

Mission réussie, votre dextérité au combat à encore fait du bien pour la réussite de la défense du château. Vous avez fait preuve de beaucoup de courage en combattant ainsi. Nous vous devons pas mal, votre blessure a l’air de bien s’arranger, en espèrent que cela guérisse très vite car nous aurons besoin de vous plus tard. Casstroul est sous notre surveillance maintenant et sont sort sera très vite choisie (le bûcher) mais nous aurons quelques questions à lui poser avant. Von Firthër est toujours vivant et malgré que nombre de nos hommes soit morts, Dieu à choisit de vous sauver. Peut-être êtes vous sous sa protection grâce à votre ferveur religieuse ? En tout cas votre récit à l’air propre et sans fautes d’orthographes, il y a du réalisme et l’histoire et bonne.

Mission de Al Assel d´Al Minya, "une embuscade dans la neige"

Titubant dans la neige boueuse, Lord Emmerick Francesco Pirelli tenta désespérément de dégainer son épée. Une fléchette dépassait de sa cuisse gauche, paralysant sa jambe. Ses quatre gardes du corps personnels gisaient près de lui, la peau de leur cou virait au violet là où les fléchettes les avaient touchés quelques minutes plus tôt.
Pourtant, la journée avait bien commencé : ils avaient attaqué quelques villages sur le chemin de la France, et devaient se trouver non loin de la Savoie.
Puis le bruit de combats avait commencé. Une armée ennemie attaquait l’arrière garde de son armée, il fallait réagir vite. Il donna quelques ordres afin que l’avant-garde reste concentrée et attentive, et partit en direction des combats avec ses gardes du corps. En effet Lord Emmerick savait que son armée était inexpérimentée et qu’elle aurait besoin de ses ordres, mais il ne pouvait se permettre de lancer toute l’avant-garde en renforts : il fallait rester vigilant au cas où il y ai une autre attaque. L’armée rebelle avait été séparée en deux, et 200 mètres séparaient maintenant l’arrière garde de l’avant-garde.
Alors qu’ils couraient et avaient parcouru la moitié du chemin, un premier garde s’était écroulé. Pirelli ordonna aux trois autres de faire face à la nouvelle menace, mais aucun ennemi n’était visible, et un deuxième tomba. Puis un troisième. Le dernier crû apercevoir une silhouette derrière un arbre et s’élança, mais il fut stopper net dans sa course par une autre fléchette. Lord Emmerick commença à fuir, mais c’est là que la fléchette se planta dans sa cuisse.
C’est alors qu’il apparut, s’élançant depuis le couvert d’un bosquet dans sa direction. Le rebella leva son épée pour frapper, mais un poignard lancé avec un précision diabolique lui transperça le poignet et l’obligea à lâcher son arme. Grand et basané, l’assassin venait probablement des lointaines contrées d’Egypte ou de Turquie. Mais que voulait-il à de simples rebelles ?
L’agent mystérieux se rapprocha de Lord Emmerick, en tirant un large poignard de sa ceinture.

-« Ne t’inquiète pas, ton âme rejoindra bientôt celle de tes gardes et du reste de ton armée », promit Al Assel en le fixant dans les yeux.

Le rebelle fouilla hâtivement dans sa ceinture, en tira une bourse pleine d’or provenant du butin partagé plus tôt dans la journée, et l’offrit à son tueur. L’assassin se contenta de rire doucement.

-« L’argent ne fait pas le bonheur, mon ami. Mais l’endroit où je t’envoi te permettra peut-être de le trouver… »

Le regard d’Al Assel ne dévia pas lorsqu’il trancha prestement la gorge du traître, puis il déshabilla Lord Emmerick. Son armure, et surtout son casque, lui allaient à ravir. Il n’avait plus qu’à retourner au char, ordonner à l’avant-garde rebelle d’aller renforcer l’arrière de l’armée qui, d’après la diminution des bruits de combats, était quasiment défaite. Une fois relativement seul, il fouilla le char et trouva un parchemin au sceau inconnu. Il le glissa dans sa ceinture, car il avait reçu l’ordre de ne pas l’ouvrir. Son travail était de tuer, pas des s’occuper des paperasses, si importantes soit-elles.
Sa mission était accomplie, il ne lui restait qu’une chose à faire. Il mit le feu au morceau de tissu, et se dirigea avec l’air le plus normal possible vers les bois, en demandant à la demi-douzaine de rebelles présents de le suivre.
Le char ne tarda pas à brûler entièrement, donnant ainsi le signal à Lord Emmerick et Kimmuriel d’Exeter que sa mission était accomplie. De plus les quelques rebelles qui l’accompagnaient maintenant seraient facilement maîtrisés pour être ensuite interrogés.

Critique de la mission de Bekin21 :

Jolie travail pour un assassin a vrai dire nous n’avons pas l’habitude d’opérer avec des gens aussi habile que vous. Je suis content de vous avoir à nos côtés, l’Ordre des Chevaliers Divins vous doit déjà beaucoup. L’hérétique italien Pirelli et définitivement hors de danger, son âme doit être en train de subir le châtiment éternelle en enfer. En plus d’avoir tuer avec faciliter et sans aucunes fautes Francesco et ses quelques gardes, vous avez récupéré les parchemins (sans les avoirs ouvert). Un grand merci à vous, nous vous sommes très reconnaissant. Pour le récit je n’ai pas grand chose à dire, j’ai beaucoup apprécié, il y a du réalisme, de la cohérence avec les autres récits (le char qui brûle). Tout est bon même l’orthographe qui n’a pas l’habitude de plaire au joueurs de RP.

____Mission "Défendons-nous par Tandem_93"_____


Une semaine, cela faisait déjà une semaine que nous nous hâtions en direction du château de mon compatriote Von Firthër. Il faisait plutôt froid en cette saison, la neige n’avait céssé de tomber depuis le début de notre voyage et mes membres commençaient à s’engourdir.
Après un dernier tournant marquant la fin du bois de Kunnenmargën, nous pûmes voir au loin la silhouette du château, j’avais participé à de nombreuses batailles avant mon arrivé dans l’Ordre mais jamais je n’avais vécu de siège, éspérons que ce château ne sera pas mon tombeau. Il nous fallut tout de même une petite heure pour arriver à l’intérieur des murs du château. Von Firthër sembla soulagé de nous voir arriver avant les rebelles. Pendant qu’il parlait avec Ervan, mon compagnon d’arme, je pris le temps d’analyser les défenses du château. Les remparts étaient fait de pierres et les portes étaient bien renforcés, les défenses tiendraient. J’étais en pleine contemplation des remparts lorsque Von Firthër donna des ordres précis à ses hommes ainsi qu’aux nôtres. Une partie de l’armée dont Xamarius et Knight Vologhan se dirigèrent vers la porte Nord. Ervan se plaça sur la porte Est avec quelques archers et vougiers. Quand à moi,je devais protéger Von Firthër, je le rejoignai donc lui ainsi que ses gardes du corps.
-Les rebelles sont en vus, hurla un archer du haut des remparts.
Soudain la neige s’arrêta, laissant tristement un amas de neige sur le sol. Un épais brouillard se leva.
Les armées rebelles arrivèrent bientôt se séparant de deux côtés, mon cheval hennissa. Je lui addressai quelques mots d’apaisement et il se calma. Nous étions tous anxieux, les archers tiraient de tous les remparts. Quand Von Firthër ne pouvant plus rester à ne rien faire, hurla et partit suivi des ses hommes qui brandissaient violemment leur épée, en direction de la porte Est. Je commençai à deviner le plan du général, il voulait faire reculer les archers rebelles qui tiraient sur Ervan et ses hommes. Nous sortîmes rapidement de l’enceinte du château et fonçâmes en direction des archers, camouflés par le brouillard, ils ne nous vîmes que trop tard arriver sur eux. Notre charge fut dévastatrice. Mon épée s’enfonçait dans des corps trop peu protégés, le combat bascula rapidement en notre faveur et nous fîmes replier les archers. Mais bientôt Casstroull et ses hommes arrivèrent appuyer par des vougiers. Rapidement nous rentrâmes au château, voilà qui devrais nous apporter la victoire,pensais-je, mais à la porte Nord, c’était de mal en pis. Les rebelles avaient enfoncer notre ligne et ils n’allaient pas tarder à entrer dans la ville. Rapidement Von Firthër chargea vers la porte, nous le suivâmes tant bien que mal mais il était trop rapide, il ne fallait surtout pas qu’il meurt sinon cette mission serait un échec. Le choc de notre charge fut un coup dur pour les rebelles, les vougiers nous avaient tourné le dos, mais bientôt Von Firthër fut encerclé par Casstroull et ses hommes, sans réfléchir je partit dans sa direction. Un vougier fonça sur moi, mon cheval l’esquiva et je pus enfoncer mon épée dans son heaume. Bientôt j’arrivai près de Von.Il était en bien mauvaise posture, un vougier allait enfoncer sa lance lorsque j’abbatis mon épée sur son thorax. Notre charge avait sauvé la porte Nord, Ervan avait sauvé le côté est avant de capturer Casstroull, ce bâtard avait tenté de s’enfuir , sans succès. La plupart des rebelles avaient été massacrés sauf quelues uns qui avaient réussi à s’enfuir. Pour ma part, j’avais réusi ma mission, Von Firthër était sauvé et j’avais apaiser mes ardeurs en tuant des rebelles.


Critique de la mission de tandem 93:

Vous avez votre boulot et vous l’avez bien fait ! Nous sommes fier de vous et de vos exploits de combattant (et de cavalier). La mission a été parfaite, Von Firthër est vivant, Casstroul est sous notre contrôle et le siège a été massacré. Bref, encore une fois vous avez montrez que L’ Ordre des Chevaliers Divins n’était pas qu’un simple Ordre mais une grande puissance militaire ! Bref, vos talents nous ont plu et nous comptant vous rappelez bientôt pour d’autres missions. Pour le récits, j’ai beaucoup aimé, mais le seul reproche, le reproche très chiant à faire et ben c’est l’orthographe ! Faut se relire, ou écrire sur Word (pour qu’il corrige les fautes).

Mission de Lord Emmerick

L’arrière garde était droit devant nous, ces imbéciles ne nous avaient pas remarqué : j’avais du mal à retenir mes hommes tellement ils étaient impatients d’en découdre, ces chiens de païens avaient pillé quelques villages sur leur route. Je pointai l’ennemi de ma lance et criai pour encourager mes hommes : « Sus à l’ennemi ! Que Dieu guide votre bras et votre glaive ! Tuez-les tous ! Et pas de quartier ! »

L’ordre était lancé, j’abaissai mon épée : les archers de mon compatriote Kimmuriel tirèrent une première volée et les rebelles furent fauchés sur place. Mes frères d’armes étaient assez expérimentés, j’avais confiance en eux.

« Pour la gloire ! »

La charge fut violente, l’ordre de mon ami l’archer avait ravagé la dernière ligne des rebelles juste avant notre arrivée et ils fuirent sous le choc. J’ordonnai au clairon de sonner la charge pour aider nos vougiers aux prises avec des soldats ennemis en surnombre. Ils furent rapidement encerclés et abattus. Les tirs avaient cessé, nous permettant de combattre sans crainte. Jusqu’à maintenant tout se déroulait comme prévu et sans grande perte de notre côté.
Je réorganisai mes hommes, la charge de l’ennemi était imminente. Mes trois groupes n’en formèrent plus qu’un seul, vougiers au milieu : la bataille pouvait commencer.

Les archers étaient attaqués par l’armée païenne mais je ne pouvais pas les aider. Je plantai ma lance et chargeai avec mes vougiers, cela créerait un effet bélier. Mon capitaine en second lança ses troupes légèrement en retrait par rapport à notre ligne. Nos vouges empalaient l’ennemi avant même qu’il nous approche. Mais les renforts étaient nombreux et nos hommes peinaient à les retenir. J’ordonnai à mon second de reculer. Alors que nous maintenions nos vis-à-vis en respect les deux groupes de soldats chargèrent chacun des flancs de l’ennemi.

C’était un spectacle magnifique : le sang giclait, les têtes volaient, des hommes s’empalaient sur nos vouges, la mort se répandait dans les rangs de Pirelli. Je suis sûr que mon Dieu me pardonnera mon impatience : sous l’effet du combat je me précipitai face à l’ennemi, un lourd coup des deux mains faucha trois brigands mais je ressenti une vive douleur dans l’épaule : une lance avait transpercé mon armure et ma cotte. Je sentais une nappe chaude couler dans mon armure, que j’étais bien, je ne sentais plus la douleur, jusqu’à ce que le vougier la retire. Je fit tournoyer mon épée autour de moi et donnai des coups amples pour me dépêtrer d’un encerclement et rejoignis mon corps d’armée.

Les rebelles étaient maintenant en sous nombre et ils étaient à notre merci. J’arrêtai mes hommes d’un geste de la main, les rebelles jetèrent leurs armes. J’entendis un cri de mon compagnon Kimmuriel d’Exeter. Ce sarrasin avait fait son travail, l’hérétique était mort j’ordonnai la retraite à contre cœur. Nous les avions massacré…



Critique de la mission de Nathanel_Hawk :

Vous êtes un nouveau membre à ne pas laisser à l’arrière. Votre rage et votre ardeur au combat à du faire peur à plus d’un hérétiques. J’aime ce genre d’homme prêt à en découdre du moment qu’il tue du rebelle. Bref, le courage et la dextérité au combat sont des qualités que l’on néglige pas à l’Ordre des Chevaliers Divins. En ce qui concerne ton récit, que j’ai beaucoup aimé, il y a une seule chose à te reproché, le réalisme. Tu n’est pour l’instant qu’un simple « soldat » sans grade et te voilà à commander des unités (deux ou trois encore sa passe). Bref, sa va te faire perdre quelques point, par contre l’orthographe est parfaite, félicitation !

AVIS A TOUS :

Chers confrères de l’Ordre des Chevaliers Divins. Notre lutte contre l’hérésie avance à « grands-pas ». Grauchy à parler, nous connaissons maintenant les intentions du général Derbroumer envoyé en Terre Sainte. Ses desseins sont des plus déplorables et sont indignes d’un chevalier franj (français). Derbroumer à l’intention de créer une rébellion à Carmel une ville située au sud de Jérusalem, car bien qu’il est réussi à se faire passer pour un « bon chrétien », il fait parti de la « die Koalition der gerechten » qui veut dire en français la coalition des justes (une coalition d’hérétiques rappelez-vous). Nous devons donc arrêter Derbroumer avant qu’il n’agissent et qu’il réunissent une grande armée là-bas. Si la rébellion prend forme, elle pourrait facilement atteindre toutes les villes aux alentours et même toucher Jérusalem !

Aussi, Casstroul nous a rien révélé malgré la torture, nous l’avons amené au bûcher et il a été brûlé avec quelques de ses hommes, ce matin même. Son l’exemple fera frémir bien d’autres dont la pensé est mauvaise notre Ordre commence à avoir de l’influence sur les hérétiques d’Europe de l’Ouest…

J’ai pris la décision avec les huit autres seigneurs de l’Ordre de partir en croisade dès demain. Ce sera pour nous le moment d’aller en Terre Sainte car le pape Eugène III à appeler à la croisade il y a déjà quelques années de cela, suite à la reprise des territoires du comté d’Edesse par les musulmans. Le voyage sera long, nombre d’entres nous n’arriverons peut être pas jusqu’à la fin du voyage. Mais nous y allons pour le Seigneur et pour expier nos péchés, car notre vie de soldat nous a pas épargner des erreurs que l’on souhaite tous oublier.

Préparez vos affaire, nettoyer vos armes et vos armures. Prenez de quoi survivre jusqu ‘au bout. Embrassez une dernière fois votre famille car nous partirons pour plus d’années que nous le pensons. Notre caravane doit être prête dans les heures qui viennent. Que l’on emmène le drapeau représentant le blason de l’Ordre. En route mes frères, le voyage sera long, mais notre destinée est grande. Pour que l’Ordre des Chevaliers Divins perdurent dans les temps !

Soyez fier mes amis, quand nous reviendront sur nos terres, nous serons accueilli en héros. Le peuple sera fier de nous. Mais n’oubliez pas que notre épée est au service de Dieu et que nous protègerons tous les fidèles et le plus faibles qui nous accompagneront. Je serez le seul des neufs seigneurs de l’Ordre du voyage, donc votre seul général. Toutes les initiatives seront prises par moi même, je veux que notre convoi survive jusqu’à Jérusalem et que nous puissions avoir le moins de pertes possibles, je compte sur vous pour m’obéir.

Fortes in Fide !

Voici le chemin prévu, nous passerons par les terres car les voies maritimes ne sont pas surs à notre époque. Pourvu que notre route ne soit pas trop difficile.

Mission, «Restons sur nos gardes»

Notre convoi, qui avance maintenant depuis presque un mois vers la Terre Sainte, n’a rencontré que très peu de résistance au cour de son voyage. Nous voilà maintenant avec soixantaine de pèlerins qui ont pris le choix de suivre notre chemin, donc nous devons absolument les protéger. La nuit tombe doucement sur les plaines et forêts bulgares aux alentours et c’est un magnifique Soleil orangé que l’on peut maintenant observer. Le ciel est dégagé et le vent est chaud, rien de tel pour passer une bonne nuit au château de Bordir. Bordir est un seigneur Bulgare qui s’est proposé d’aider et de protéger les convois qui partent vers Jérusalem. Car, dans ces lieues traînent souvent des brigands bulgares aux grands arcs et aux yeux malicieux et il n’est point bon de traîner dehors la nuit.

Mais voilà, pour arriver jusqu’à Bordir et son château de bois, il nous faut traverser la rivière. Il y a un pont à quelques lieues d’ici mais il est au milieu d’un bois. C’est maintenant que la peur m’écrase le ventre car il nous faudra bien traverser ce pont un jour si nous voulons nous reposer en bonne compagnie cette nuit. La forêt est truffée de brigands car nous marchons sur une route ou beaucoup de marchands y passent. De plus, s’aventurer à cette heur-ci dans cette forêt serait pur suicide, l’ennemie pourra nous prendre par surprise et le massacre serait total. Mais je dois me dépêcher et prendre une décision efficace avant la tombé de la nuit.

Je vais vous envoyer à pieds (personne à cheval trop voyant) dans la forêt afin que vous puissiez observer les lieues et trouver les brigands qui s’y cache. La discrétion devra être de rigueur, car c’est brigands bulgares utilisent des arcs et leurs visées sont excellentes. Bref, une fois ces rebelles trouvés et à bonne portée pour les attaquer, votre but sera de les occir jusqu’au derniers. Ils ne devraient pas être nombreux et le corps à corps n’est pas leur point fort. Une fois l’ennemie totalement tué, vous reviendrez ici et nous pourrons alors avancer. Attention les conditions sont difficiles, bien qu’il fassent chaud, la forêt est sombre et la vision est dur entre les bois et les pins.
Bonne chance à vous et que Dieu vous garde !


°Groupe d’éclaireur°

Objectif de Knight-volgohan, Xamarius, Peter von Soukhen, Otto van Cassel, Erwan de Kervadec, Sidex:

Vous serez que vous sept pendant la mission. Point de cheval pour ceux qui en monte et de la discrétion avant tous. La forêt est grande est nous savons que des bandits s’y trouvent. Leur nombre est inconnu mais ils sont experts en arcs, ce sont de bons tireurs. Bref, avant la nuit tombé vous irez dans la forêt est vous trouverez ses brigands. Il est important de tous les tuer, car notre convoi doit passer par le pont est ne doit pas croiser l’ennemie. Faite attention à vous tous, restez groupé, mais chercher bien, ouvrez les yeux, la forêt sera sombre à cette heure là mais nous ne pouvons faire autrement. Il doit y avoir un campement dans une clairière ou quelque chose du genre ou vous trouverez le gros des rebelles. N’hésitez pas à les massacrer, car il n’auront aucune pitié. Attention de ne pas vous faire repérer, leurs flèches sont mortelle. La nature pourra vous cachez de leurs yeux et vous pourrez avancer tout en restant à l’abris. Cherchez bien dans tous les endroits des bois, certains peuvent être dispersé dans quelques recoins. Quand vous aurez fini votre mission vous reviendrez par ici et nous pourrons repartir. Vous serez commandez par les sergents Volgohan, Xamarius et Pether von soukhen qui sont mieux gradés que les autres. N’oubliez pas que vous agissez ensemble interdiction totale de ce dispersé, il en va de votre survie. La terre sainte approche mais le voyage est encore long alors patience !



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Mission, « sauvons-les »

Malgré que notre convoi soit en ce moment même arrêté, quelques des pèlerins qui nous accompagnés ont décidé de visiter un peu les bosquets alentours à la recherche d’une petite église. Cela doit faire au moins deux heures qu’ils ne sont pas revenu, j’ai bien peur qu’ils se soient égarés dans la campagne alentour. En faite, j’ai envoyé quelques éclaireurs à leur recherche et voilà ce qui m’ont rapportés. Des rebelles hongrois ont capturés nos innocents voyageurs. Ils les ont ramenés dans leur campement, un peu plus éloignés d’ici, à environ 1 heure à vol d’oiseaux.

Les pauvres fidèles ont été fait prisonniers, j’ai promis de les protéger durant le voyage. Nos éclaireurs sont allés voir le chef de ces hérétiques pour demander une rançon, mais celui-ci n’a rien voulu savoir. En outre, il sait que nous sommes de l’Ordre des Chevaliers Divins et c’est pour cela qu’il ne veut rien entendre. Si nous n’intervenons pas maintenant, les vies des ses pèlerins ne seront plus d’ici ce soir.

Vous allez y aller, le campement est grand mais les prisonniers sont enfermés dans une tente bien gardée. Une grande tente paraît-il. Votre but sera de les ramenés vivants avant la tombée de la nuit. J’ai bien peur qu’il ne vous reste que peu de temps. Donc vous devrez être efficace tout en restant discret.

Que Dieu vous garde !


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Objectif de Al-Assel d´Al Minya:

Vous serez de la mission, mais vous ne vous occuperez pas des pèlerins à libérer. Votre but sera de trouver le chef de ces rebels et de le tuer. Je ne sais ou il se trouvera quand vous serez dans le campement, mais il est sur qu’il sera bien entouré. Faites ce que vous devez faire, discrètement si possible. Vos talents ont prouvé votre efficacité ses dernières missions, alors ne nous décevez pas. Faites payer à ce Rebel son affront et sa stupidité. Essayez d’éliminer votre cible qu’après les pèlerins libérés, afin que nos braves soldats ne se fassent pas repérer par tout le campement. Nous savons que le campement est bien protéger (une cinquantaine d’ennemis), mais la plupart se sont regroupés à l’extrémité Est du camps.

Objectif Kimmuriel d´exeter., Lord Emmerick et Jek Letranglor :

Soldats, la mission est difficile mais votre objectif est simple. Trouvé les pèlerins prisonniers et libérez-les. Les rebels sont nombreux, peut être une cinquantaine et vous êtes que 4 (avec l’assassin). D’après nos éclaireurs, les prisonniers devraient se trouver dans une grande tente au milieu du campement. Des soldats gardent bien les alentours du campement, mais ne sont pas très attentifs. De plus, pas mal de rebels se sont retrouvés à l’extrémités Est du campement, nous ne savons pas vraiment pourquoi mais sa vous laissera le temps d’avancer sans trop de difficulté. Une fois les pèlerins libérés, sortez rapidement et revenez ici. La nuit tombée couvrira votre fuite (grâces aux ombres).

« Sauvons-les » journal de Lord Emmerick.

Il faisait nuit quand nos éclaireurs revinrent de leur expéditions, des pèlerins avaient été capturés. Quel guigne, nous devions avancer vers le pont et ces imbéciles s’étaient éloignés alors que les bois étaient comblés de brigands en tout genre. La rançon refusée, notre grand maître eut un choix difficile à faire laisser les pèlerins pas question dit-il ! Notre petit groupe de sauvetage se composait du sarrasin, de mon ami Kimmuriel, d’un petit noble hongrois et moi. Face à la cinquantaine de kidnappeurs cela ne serait pas facile.

Nous partîmes dans le bois, il faisait très sombre mais l’arabe semblait savoir où il allait : je le tenait à l’œil celui-là, je ne faisait pas confiance aux infidèles… fussent-ils reconvertis ! Après environs deux heures de marche nous arrivâmes dans une grande clairière : le campement était vaste, ce qui constituait un avantage pour nous. J’avais laissé mon armure aux chevaliers anglais qui nous suivaient : elle n’aurait fait que m’embarrasser.

L’égyptien parti à pas feutrés sans même que je ne m’en rende compte : apparemment il avait décidé de nous laisser seuls pour libérer nos pairs. Le maître lui avait probablement confié une mission, enfin soit je n’appréciais guère tant de fourberie…

Nous avançâmes vers le campement, la plupart des soldats étaient déjà égorgés : au moins ce gueux faisait bien son travail. Le campement était rempli de soldats endormis ou ivres : quelle partie de plaisir ! L’archer abattit un guetteur sur sa tour, Jek et moi-même empalions les dormeurs de nos épées. Mais il y avait quelque chose que je ne comprenais pas, c’était beaucoup trop facile : le gros des brigands se trouvaient à l’autre bout du campement, autour d’un grand feu, cela m’intriguait. Nous entrâmes dans la tente des prisonniers, grâce à Dieu il n’y avait pas de blessés. Un des pèlerins m’interpella, il bégayait : « S’il vous plaît mon seigneur, s’il vous plaît sauvez ma fille, sauvez la ! Je vous implore, ces chiens l’ont emmené oh mon Dieu… » Je rassurai le vieillard et prévint mes compagnons, ils s’en allèrent avec le restes des pèlerins et je me chargeai de la fille, après tout un chevalier a des devoirs…

J’avançai vers le feu, il y avait une bonne vingtaine d’hommes : je n’avais aucune chance seul. J’entendis des cris, la demoiselle était au milieu de ces salauds, dénudée, les bulgares étaient en train de la terroriser. Mon sang ne fit qu’un tour, sales lâches : ils allaient payer pour violenter une si magnifique créature ! Je chargeai sans même réfléchir, je tranchai la gorge d’un vougier, tailladai la cotte d’un autre, frappai de ma garde les épéistes qui m’approchaient. Mais dans la mêlée, ma blessure se rouvrit, me causant une grande douleur à l’épaule : je lâchai mon épée sous le choc d’un coup. J’étais à genoux. Une hache s’abattait déjà sur moi quand soudain le bulgare reçu une fléchette dans le cou, je pris une vouge qui traînait et l’embrochai sur place en un élan de désespoir, l’homme cracha du sang sur mon blason. J’étais encerclé, c’était la fin.

« Arrêtez ! Laissez le en vie ! Et la fille aussi ! » cria un des hommes. Les autres l’écoutèrent : on m’enferma avec la damoiselle, sous bonne garde. J’étais impuissant, j’avais besoin d’aide.

Dieu pardonnera les siens…

Ce sont probablement les derniers mots que j’écris : Gloire à l’ordre…

"Restons sur nos gardes"Mission de Xamarius

"Nous sommes pour l´instant grouper,bientot, je partit seul en quete d´une cible apte à mon arc"




Je rampe furtivement dans les hautes herbes de la forêt bulgare.Bientot j´aperçois un bandit à l´affût dans un arbr un arc à la main, cinq seconde plus tard il git sur le sol, du sang coule à flot de son corp inanimer.
je continu l´anvancer dans la fôret noir ou je ne vois seulement qu´a dix pied devant moi, mon fidele arc long ne me servira presque à rien dans cette broussaille.
Le chasseur qui m´avait receillit m´avait enseigner l´art de la discretion sans laquel je n´aurait pas réussi nombre de mes missions, les bulgares son mon gibier .
J´aperçois un chevalier portant le blason de notre ordre transpercer de sa lame un archer pres à me tirer dessus, je ne put hélas reconaitre mon sauveur qui avait le visage masquer d´un heaume apres cela, ils courut dans la forêt.
Ma route ce poursuit en égorgeant tout les mécréants qui croisent mon chemin.


J´attein alor une clairière, ne voyant ni mes amis, ni mes ennemis je me dit que ma sottise m´a conduit à me perdre en pleine mission quand tout d´un coup, je me retrouve entouré de neuf vougier prêts à m´envoyer voir le Christ à tout mouvements.Je pria alors le ciel de me permettre de sortir vivant de cette situation et de me donner la force de venir à bout de ces rebelles qui iront rejoindre santan une fois que je les aurai occis.




La force de la protection du Christ envahit alors mon esprit, je sort une petite arbalette dans une main et une épée dans l´autre, je décoche un carreau sur un vougier fondant sur moi dandis que j´enfonce mon épée dans le torse d´un autre.
une vouge a attein mon épaule gauche je laisse sortir un cri de douleur et de rage éffrayant mes adversaires, je fend le crane de mon agresseur puis j´entaille le cou d´un autre rebelle tombant par terre sans pouvoir pousser un seul cri, je continua ainsi jusqu´a ce qu´il ne reste plus un brigant autour de moi, je me fit malgré tout capturer par d´autre hérétiques
cachés derriere les arbres.


Ils me traînent jusqu´a un fortin bouré de brigants, on me jetta dans un cachot avec pour seul nourriture un vieu morceau de pain raci.Le bruit d´une battaile teinte alor dans mes oreilles et un chevalier de l´ordre nommé Erwan de Kervadec vint me libéré, me permettant de me venger de ces hérétique "Fortes in Fide" les ennemis du Christ doivent périres, apres quelque heures de combat la battaille est gagnée!


Critique de la mission de XamariusCodfan :


Très bon récit, je me suit régalé ! Mission accomplie malgré que tu te sois un peu perdu dans la forêt (ce qui est normal nous ne sommes pas des GPS), des rebelles sont morts et notre route est maintenant sécurisée notamment grâce à toi. Un grand bravo pour l’effort de langue mais certains points sont encore à améliorer. L’orthographe à soigner, écrit aussi tes textes au passé, c’est des moments passés que tu me compte, ça ne se passe pas en ce moment… C’est dommage cela te fais perdre des points. Ah oui, tu n’as pas pris en compte le texte de Erwan, il n’a jamais raconté dans son récit qu’il t’avais sauvé… C’est une faute assez grave et c’est très dommage parce que j’ai bien aimé ton histoire. Bref, c’est par l’erreur que l’on s’améliore, prend en compte mais tes fautes et fais nous un récit parfait pour la prochaine fois (je te fais confiance).

Mission de Al Assel d’Al Minya, _Sauvons-les_


Alors que nous avancions dans les bois qui menaient au campement rebelle, je ne cessai de sentir le regard méfiant de Lord Emmerick dans mon dos. Pour l’instant cela ne me dérangeait pas trop car nous étions en mission, mais s’il continuait ainsi, il se pourrait qu’un jour on le retrouve poignardé dans sa chambre...
Il fallait que j’arrête de penser à ça, la mission était prioritaire. Je décidai alors de quitter mes camarades et en un bond je disparus derrière des bosquets.

Arrivé en vue du campement rebelle, je m’aperçus que la plupart des soldats avaient bu et étaient incapables de se battre. Tant mieux, ma mission n’en serait que plus facile. Plusieurs gardes se retrouvèrent donc hors d’état de nuire, la gorge tranchée. Une fois le périmètre autour de la tente des prisonniers plus ou moins sécurisé je me dirigeai vers un grand feu où se trouvait une vingtaine d’hommes. Je reconnus immédiatement ma cible et m’approcha discrètement du feu, profitant du moindre couvert afin de rester inaperçu. Cela était facilité par le fait que les rebelles étaient préoccupés par une magnifique créature, qui allait sûrement passer un sale quart d’heure. Cela me laissa indifférent, car je ne pouvais sacrifier ma mission à l’honneur d’une femme, aussi belle soit-elle. De plus, j’aperçois de l’autre côté du camp que mes camarades de mission s’enfuient avec les prisonniers. Parfait.

Je me trouvai à une dizaine de mètres de ma cible, mais le chef rebelle était bien entouré : impossible de l’avoir au poignard, il ne me restait que ma sarbacane et une fléchette empoisonnée. Impossible de rater ma cible, dans quelques instants j’aurais mener à bien une autre mission… je lève ma sarbacane, mets la fléchette, approche le bout de ma bouche, vise… quand cet imbécile de Lord Emmerick chargea au milieu des rebelles afin de sauver la demoiselle ! Il parvint à tuer une demi-douzaine d’hommes grâce à l’effet de surprise, mais le nombre jouait contre lui et il semblait souffrir de l’épaule. C’est donc sans surprise qu’il se retrouva à genoux prêt à être massacré par un homme portant une hache. Tant mieux, je ne supporte pas son air hautain lorsqu’il me regarde. Je n’ai qu’à attendre sa mort et finir ma mission !

« Fortes in Fide ». Je ne sais toujours pas pourquoi, mais la devise de l’Ordre m’ai revenue à ce moment. Alors, d’un geste réflexe, je tire sur l’homme à la hache qui reçoit la fléchette dans le cou, permettant à Lord Emmerick de l’achever. Malheureusement je n’ai plus que mon poignard, je ne peux plus rien pour lui …

« Arrêtez ! Laissez le en vie ! Et la fille aussi ! »

Le chef rebelle venait d’aboyer ses ordres. Ainsi Lord Emmerick était provisoirement sauf, mais à cause de cet imbécile prétentieux et inconscient, je ne pouvais pas accomplir ma mission : le chef était encore plus protéger qu’avant, et je n’avais plus de fléchettes empoisonnées. Les pèlerins devaient être en sécurité maintenant, il fallait que je quitte le camp et que je prévienne Sopraluk de ce qui c’était passé. Finalement, il semblerait que l’on ne doive pas quitter la Bulgarie avant un moment !


critique de la mission de Bekin21 :

J’ai adoré ce récit (décidément ce soir vous me plaisez tous) . Tu as bien pris conscience qu’il devait y avoir de la cohérence entre chaque récit. J’ai bien aimé la confrontation entre toi et Nathanel, ça met un peu de piquant dans « L’Ordre » et sa donne un encore plus de réalisme et de personnalité entre nos membres. Bref, ta mission à échoué (mais je n’enlèverai pas de points pour cela car je note surtout suivant le récit). Beaucoup de réalisme, tu as donné beaucoup plus de personnalité à ton personnage, je suis fier de toi.

"Restons sur nos gardes"
Erwan de Kervadec


Au sieur Sopraluk, par la grâce de Dieu grand maître de l´Ordre des chevaliers divins.

J´espère que cette missive vous trouvera en bonne santé sous la protection du Tout-Puissant.

Je dicte actuellement à un clerc bulgare, n´étant plus en mesure de tenir la plume.

Suivant les ordres de Peter Von Soukhen, je m´enfonçai en reconnaissance dans les taillis touffus, qui s´il me protégeaient, me coupaient également de mes compagnons. Je cheminai ainsi le quart d´une heure, avant qu´une ombre ne se profile devant moi. Sans nul doute un guetteur adverse. Je lui plaquai ma main gantée de fer sur la bouche, et lui plantai ma dague dans la gorge; il s´effondra sans un cri.
Progressant de nouveau, j´eu la surprise de découvrir que ce qui devait être des tentes éparpillées dans une clairière était au contraire une espèce de fortin, dérisoire mais suffisant pour nous tenir aisément en échec, et nous faire subir le sort de saint Sébastien avant même que nous ne soyions sorti de la lisière du bois.

Je retournai alors auprès du groupe des autres chevaliers, et rendis compte. Un passage était libre, le guetteur ayant été éliminé, mais les rebelles étaient solidement barricadés, tout assaut frontal était voué à l´échec, et il n´était pas question de tenter une approche discrète, ne bénéficiant alors plus du couvert de la forêt. Nous étions consternés, ce fortin pouvant à lui seul bloquer la progression vers le Saint-Sépulcre.

je proposai alors un plan d´action, calqué sur celui employé par mon Ordre et moi-même en Terre Sainte, pour s´emparer d´un chastel fort haut perché. Je reçu l´approbation des trois sergents, lesquels ne la donnèrent pas sans quelques doutes; il est vrai que ce plan est d´une témérité folle.

Pour l´accomplissement de celui-ci, je me dévêtis, ne gardant que mon haubert, mon épée, le tout caché par une robe de bure de moine.

Je m´avançai alors vers le fortin, et ce en levant les mains au ciel, pour monter mes intentions pacifiques ainsi que pour implorer le soutien qu´Il voudrait bien m´accorder.

Je fus saisi, ligoté, frappé, et finalement trainé devant leur chef, un géant rustre, qui me demanda d´un air narquois quelle était ma dernière volonté. je lui expliquai alors qu´un convoi de riches chevaliers escortant des marchands convoyant de la soie de Constantinople se préparaient à passer le pont, et qu´il y avait moult florins à saisir. Afin d´être crédible, je teintai mes propos d´un accent sarrasin, et lorsqu´il me demanda pourquoi il devait me croire, je lui répondis que je voulait me venger des infidèles partant en croisade, mettant dans mes dires toutes la rage que j´éprouve pour les rebelles hérétiques. Vous connaissez bien celle-ci, sire Sopraluk, et vous comprendrez donc aisément qu´il me crut !

Il me fit alors détacher, et me demanda quelles étaient mes exigences. je réclamai l´anéantissement des croisés, et le cinquième du butin. Il fit semblant d´accepter.

Toutefois, dans le plan adopté avec mes camarades, il était prévu qu´ils se rueraient vers le fortin au moment où les rebelles postés sur le chemin de ronde s´en iraient. Or, ils étaient toujours à leurs postes ! Ma négociation étant terminée, je me trouvais dans une situation critique, tout comme mes compagnons, ne pouvant toujours pas lancer l´assaut.

Je jouai alors le tout pour le tout, et hurlai:
"soldats, votre chef veut vous priver de butin", ce qui eu pour effet d´ameuter les gardes et tous les rebelles, et donc, je le savais, de provoquer l´approche silencieuse de mes compagnons, la voie étant libre.

Mais le chef ne savait que trop bien comment manier ses hommes, et leur promettant vingt livres chacun, il les renvoya à leurs postes et ocuupations. La situation était catastrophique.
Mes compagnons, en progression à découvert formaient des cibles idéales.

Remettant mon âme à Dieu, je fis voler ma robe de bure sur le rebelle le plus proche de moi, dégainai, et pourfendis ledit rebelle, avant de faire tournoyer mon épée, taillant, tranchant, tailladant, et surtout, attirant toute l´attention des rebelles. U
ne dizaine d´entre eux étaient à terre lorque je commençai à plier sous le nombre. Un premier coup de vouge fit voler des mailles de ma cotte, et un chaud liquide s´écoula de l´entaille. Ce rebelle eut le crâne fendu tel une pomme, mais un autre le remplaça aussitôt.
Je me tournais et fis semblant de m´enfuire, puis, dos tourné aux rebelles, poussai mon épée en arrière, sur laquelle un rebelle trop téméraire vint s´empaler.
C´est alors que, rendu furieux par la vingtaine de ses hommes que j´avais tué, le chef rebelle ordonna à ses fameux archers bulgares de me viser de leurs traits. Immédiatement, je saisis le cadavre du dernier rebelle que je venais de tuer, et m´en fit un rempart. Las, ceci ne m´empêcha pas de recevoir une flèche dans la main, et une autre frôla mon épaule. Ne pouvant plus manier mon épée, la fin, qui de toute façon était inéluctable, arrivait.

Au moment où ma perte de sang me fit m´évanouir, j´entendis comme dans un rêve une voix, teintée d´un fort accent germanique, celle de mon cher Peter von Soukhen, brailler d´un ton de stentor:
"Fortes in Fide".

Je ne réveillai que le lendemain, et apparemment, l´action de mes camardes avait été éclatante, puisqu´il devait rester approximativement une centaine de rebelles, et que le fortin était tombé.

Mais je vais laisser ces derniers vous narrer ladite action, à laquelle ils ont pris part.

Toujours est-il que ma blessure cicatrise vite, et que mon autre blessure, à la main, est pratiquement guérie, aucun nerf n´ayant été touché, grâce à un onguent du clerc à qui je dicte cette lettre.
J´ai d´ailleurs fait don de 10 marcs d´argent à son monastère, pour l´accueil des pèlerins et de mes compagnons, ainsi que pour leur dévouement envers leur prochain.

Je tiens bien sûr à insister sur l´action des autres chevaliers de L´Ordre, sans qui je m´en serais allé rejoindre le Christ.

Puisse-t-Il les garder en Sa protection !


critique de la mission de Knight_templar :

Que dire, que dire mon cher. Ton récit est génial, tout simplement parfait. Du réalisme, de l’originalité, une maîtrise parfaite de la langue, un vocabulaire plus que cherché. Du bon récit à la Knight templar comme je l’ai aimes (et que beaucoup apprécient aussi). La note sera tout aussi maximale que celle de ton camarade Nathanel (dont le récit était out aussi original). Je suis fier de t’avoir comme compagnon dans l’ordre, et de t’avoir avec nous pour le convoi vers la terre sainte me réjouit encore plus. Bref, j’ai adoré les deux récits, en espèrent que tout le monde m ‘en fassent des pareils et je bénis le seigneur d’avoir des membres aussi bons (ceci est une forme de remerciement).

Mission « Sauvons-les », carnet de voyage de Jek Letranglor.

Cette nuit-là, après que notre officier nous eut informés de notre mission, je passais le temps du trajet à réfléchir sur les desseins de Dieu. Avait-il pu réellement créer des êtres capables d’une telle infamie ? Mais, simple soldat dans les rangs du légendaire Ordre des Chevaliers Divins, il ne m’appartenait de juger le Suprême Créateur, seulement d’accomplir sa volonté transmise par le chef de l’ordre.

Durant la marche silencieuse vers le campement ennemi, et bien que plongé dans mes sombres réflexions, je sentis bien toute la tension contenue dans l’air. Chacun savait que sa survie pourrait dépendre de l’homme qui marchait à coté de lui, et cette perspective, lorsque cet homme était un étranger ou un ancien musulman, ne semblait guère enchanter Lord Emmerick.

Toute trace de méfiance disparut néanmoins lorsque nous arrivâmes au campement rebelle, remplacé par la concentration et une intense détermination. Je vis du coin de l’œil le sarrasin s’esquiver, sans doute accomplissant une mission que nous ne connaîtrions probablement jamais.

Nous entrâmes en silence dans le camp, l’archer Kimmuriel liquidant les rares sentinelles et moi ainsi qu’Emmerick éliminant ces chiens d’hérétiques dans leur sommeil. Bien qu’une partie de ma conscience s’insurgeait à l’idée de tuer ces hommes de cette manière, je savais qu’ils méritaient de mourir, qu’il s’agissait ici de la volonté du Seigneur.

Nous libérâmes donc les pèlerins, et tandis que je m’assurais qu’il repartait bien vers notre campement, j’entendis des hurlements provenant de l’autre extrémité du campement. Que se passait-il donc ? Lorsque j’arrivais en vue de la source des hurlements, je fus stupéfié par ce que je découvris : mon camarade Emmerick s’était lancé dans une courageuse, noble et insensée action, qui mettait en péril la mission que l’on nous avait confié !

Si Emmerick faisait ainsi mentir la sombre réputation de la perfide Albion, ce beau geste était totalement hors de propos dans la situation présente. Transi d’effroi, je vis l’anglois lutter courageusement, estourbir quelques rebelles, et se faire finalement dépasser par le nombre. Alors que je me lamentai intérieurement de devoir regarder ainsi mon compagnon mourir sans rien pouvoir tenter, le commandant adverse épargna la vie d’Emmerick.

Je me doutais bien que le « geste » du chef ennemi était plus motivé par la volonté d’inventer des formes raffinées de torture que par la mansuétude, mais ce répit nous permettait, à moi et à mes camarades disséminés dans le camp, d’envisager un sauvetage.

Alors que l’aube aux doigts roses s’approchait lentement, je sentis un goût amer dans ma bouche. « Que Dieu nous vienne en aide… »…


critique de la mission de Jack (je raccourcie ton nom):

Un très bon début dans l´ordre, une très bonne histoire (que j´ai lu et noté sur le champs comme tu peux le voir). Bon récits, qui à de la cohérance par rapports aux autres, tu as pris en compte les détails importants pour ton récit. Du réalisme, un vocabulaire raffiné (à la Knight Templar). Bref, tu es un membre prometteur et je t´accorde la note maximale pour l´efficacité que tu as fait preuve. Nous aurons bientôt besoin de toi pour bien d´autres missions !

Restons sur nos gardes »

Volgohan, membre de L’Ordre des Chevaliers Divins.


Nous avançâmes dans les bois de la forêt, traversant les taillis, écartant les branches sur notre passage. Sombre et mystérieux, les bois semblés inhospitaliers. Sous mon ordre, nous nous étions écarté du chemin mais moi même, je m’étais séparé du groupe de Peter Von soukhen, sans trop m’éloigner d’eux mais en restant hors de vue. J’avançais, caché par la végétation, étant donné que ce n’étais qu’une simple mission d’éclaireur, je n’avais point mis ma cotte de maille, ni mon heaume. Par ailleurs, j’avais quand même décidé de garder mon bouclier. Je franchis un petit ruisseau dont le son couvrait ainsi le bruit de mes pas.

Tout d’un coup, des bruits secs vinrent à ma direction, sur le coup, je me cacha dans un buis près de moi. Les pas s’approchèrent rapidement, mais par mon étonnement, ce n’étais qu’un cerf qui courait. Je sortis donc de ma cache inconfortable, honteux d’avoir confondu l’homme et l’animal. Mais à ce moment là, un des bandits que je n’avais point vue, me sauta dessus, caché depuis les branches d’un chêne. Il m’éjecta contre le sol, le coup ne me fut pas fatal, mais la situation était très délicate. L’homme était sur moi et m’empêchait toute résistance. Si les cris de désespoir que je lançais n’avait pas attiré l’ouie de mon camarade Sidex. Je serais perdu à cette heure même ou je vous écrit.

Mon sauveur trancha rapidement la gorge du rebelle et me demanda de le suivre auprès des autres. Ils avaient été plus efficace que moi dans la recherche et le campement des rebelles bulgares apparaissait devant nous. C’est alors qu’Erwan, nous expliqua son plan, dangereux de réalise une telle stratégie, il se proposer lui même d’attirer l’ennemi vers le pont pour que l’on puisse éliminer les rebelles rapidement. Stratagème ingénieux, nous laissions Erwan le réaliser, car nous avions confiance en lui.

Caché dans les taillis, nous attendions l’heure ou le rebelle succombera à nos lames. Mais la situation semblait mal tournée, et le plan devînt bientôt tout a fait autre chose. Erwan se retrouva entre les mains des rebelles… Sa mort semblait fort probable car il était blessé et le combat était inégale, mais Peter cria : « Fortes in Fide ! » et nos cris de rage qui suivirent ses paroles, résonnèrent dans toute la forêt. Nous chargeâmes pour sauver Erwan qui était étendu sur le sol. La bataille fut sanglante, l’ennemie bon, mais le bien domine le mal et nous prenions l’avantage. Ma lance, trancha un ennemie, puis je l’enfonça encore et encore sur ceux qui se présentèrent devant moi. Par la grâce de Dieu, le chef ennemie fut tué aussi et ses hommes prirent la fuite.

Erwan n’était qu’évanouie sur le sol mais Dieu dans sa grande miséricorde l’avait sauvé son heure n’était pas encore venue. Nous le ramenâmes hors des bois, vers une petites église hongroise qui prit soin de lui. Le pauvre était mal en point, son sang coulait à flot. Mais les moines savent y faire et ils s’occupèrent rapidement de lui.

Maintenant il se repose maintenant, ses blessures ont été guéris. C’est donc ici, que j’ai pris le temps d’écrire cette lettre, avec les quelques matériels qu’utilise les moines pour écrire et qu’ils m’ont prêtait généreusement.


Critique de la mission Knight-volgohan :

Mission remplie avec ferveur, une fois encore tu t’es montré à la hauteur autant dans le RP que pour les qualités de ton récit. L’histoire est bonne, s’inspirant des autres récit, il y a donc de la cohérence. Une nette amélioration dans l’orthographe, un style d’écriture à la hauteur. Bref, je suis fier de toi et nous espérons te revoir dans bien d’autres missions encore.