Il me regardais d un air effrayé, il était asser petit je le dominais complètement, il brandit son bouclier devant lui, je frappait de toute mes forces le morceau de bois qui se fissura de toute part, donnant un coups de pied je mettais a terre mon ennemis avant de lui ouvrir le crâne, soudain une douleur me paralysa le dos, je me retournais et vit un soldats armé d une simple épée.
Malgré qu il me frappait de dos il ne m avait que blessé mais il tenta un nouvel assaut que j esquiva avant de lui percer le dos de ma lame, je vis Siegfried me cherche non loin de moi, je lui criait de prendre le commandement de la cavalerie et d aller attaquer les fantassins légers comme prévus, il hésita un peu et partit en balayant tout sur son passage.
Je le suivais un peu du regard avant de me relancer dans la mêlé et de frapper plusieurs ennemis engagé avec nos soldats, soudain je vis un cheval non loin de moi, rapidement je m empressais de monter dessus et de ramasser mon étendard, celui-ci était taché de sang donc celui de ma monture,
Rengainant ma lame je scrutais le champs de batailles, des milliers de cadavres étaient déjà foulé du pied et roulé dans la boue, au centre les alliés dominaient maintenant de manière nette le combat, le nombre d homme était maintenant le même et nous étions certains de vaincre sur ce front.
Mes cavaliers infligeaient d énormes pertes a l infanterie légère et la retardait, mais le surnombre des ennemis était en train de jouer et mes cavaliers tombaient les uns après les autres, a la dernière porte le capitaine semblait dominer la situation car la bataille se déroulait maintenant au dehors de la forteresse.
Je me mis au galop pour rejoindre mes troupes, quant j arriverais il ne me restait plus que 200 hommes environs, j ordonnais le repli et qu ils attaquent les rebelles de la porte de gauche, mes hommes heureux de me voir en vie obéirent et se mirent a galoper vers les rebelles, dans la mêlé je trouvais Alexandra le bras ensanglanté et Siegfried blessé au ventre mais luttant encore et encore a cheval.
Ils me regardèrent comme si j étais venus de l enfer, je leurs répétais mon ordres et ils se mirent eux aussi en route, quant nous arrivâmes la situation était sous contrôle, la charge de flan avais sapé le moral de troupes ennemis dont le général avais péris glorieusement, les rebelles étaient en train de fuir en tous sens et le capitaine ordonna a mes cavaliers de les poursuives.
Nous suivions les ordres et pourchassions les fuyards, de ma lance je perçais les ennemis en passant entre eux jusqu a ce que la majorité d entre eux soient mort avant d étudier la situation :
Au centre la bataille faisait rage, les fantassins légers avaient causé d énormes dégâts et les rebelles étaient 2 fois plus nombreux mais les fantassins du capitaine danois vinrent gonfler les troupes du roi.
J ordonnais aux cavalier d arrêter et se mettre en formation serré afin d attendre une occasion et de reprendre un peu notre souffle, soudain je pus voir plusieurs centaines de cavaliers dévalé des collines, ils semblaient légèrement armé mais était environ un millier, ils étaient dos a nos troupes et s arrêtèrent tous a peut prêt en même temps et je compris qu ils étaient des archers montés
Je regardais abasourdi Siegfried ces hommes ne pouvaient être des partisans de Philipe vus qu ils tiraient aussi sur ses hommes et ce n étaient pas des hommes de l ordre,il semblait aussi sidérer que moi mais il me répondis que si on ne les aidaient pas nos fantassins serait condamner.
Je sortis ma lame et ordonna a mes cavaliers de charger les ennemis mais ils ne le firent pas,je fut traité de fou plusieurs fois ,ils étaient trop nombreux … sur ce temps au sommet de la colline plusieurs catapultes étaient apparues et commencèrent a pilonner la mêlé, j hurlais le mot lâche a mes hommes avant de me lancer seul vers les cavaliers,j entendis le galop de la montre de Siegfried et celle d Alexandra derrière moi .
Mes amis me rattrapèrent et galopaient a mes coté, soudain nos hommes se mirent aussi au galop et nous suivirent jusqu a nous rattraper aussi, les cavaliers ennemis étaient nombreux et quant nous fumes repéré des centaines de flèches furent lancé dans notre direction, les rangs de mes cavaliers étaient de plus en plus étroit, les flèches fauchant sans relâche nos rangs.
Alors que les ennemis étaient tout proche ils nous chargèrent tous ensemble, ils se ruèrent sur les quelques centaine d homme me suivant, les ennemis étaient peu compétent et mal équipé mais leurs nombres les avantageaient, je me battais avec ardeur, empalant plusieurs adversaires et en désarçonnant encore bien plus mais soudain de nouveaux cris vinrent de la mêlé, un groupe de cavaliers la quittait.
Le roi Guy et tout les commandant de l armée allié fuyaient le champs de bataille voyant le danger de la défaite, des cris des joies vinrent de l armée des partisans de Philippe et notre armée pris la fuite, abandonné de leurs paires et sans chef même les plus braves ne pouvaient combattre.
Des milliers de rebelles firent leur apparition, environ 3-4 milliers de fantassin et le même nombre d’archers, ils avaient contourné la bataille grâce aux collines et encerclaient maintenant nos hommes, des pluie de traits fauchaient les fuyards, une bonne part des archers monté qui nous combattaient, abandonnèrent le combat pour suivre les fuyards.
Mes cavaliers se battaient vaillamment malgré la situation, Siegfried ordonna soudain le repli et hurla que ce sauve qui pouvais, dans la furie de combat je ne compris pas sa décision mais la majorité des mes cavaliers se sortirent du piège qui se refermait sur nous, les cavaliers ennemis étaient trop peu nombreux et ne purent les retenir.
Je pu voir Siegfried se battre et mettre a terre plusieurs ennemis, en compagnie d Alexandra il me dit que nous devions fuir, je lui répondais qu il se comportait en lâche et il me dis que j étais idiot et que la vie de mes hommes passaient avant l honneur.
Les catapultes tiraient toujours malgré la fuite des alliés les rebelles continuaient a viser les troupes du roi Philippe, les archers monté étaient en train d harceler ses rangs, les rebelles l avaient trahis et il était fichu le prince ordonna donc lui aussi le retrait pour sauver la vie de ses hommes.
Les soldats couraient en toute direction afin d échapper a leurs bourreaux mais les archers monté mettaient un terme a leurs fuites d un simple flèche, le roi Philippe quant a lui se mit a galoper avec sa garde dans notre direction, je compris qu il voulait attirer les ennemis pour sauver la fuite de ses hommes.
Les cavaliers lourds se jetaient dans le combat, ils ne tentèrent pas de nous frapper nous soldats de l ordres mais bien les rebelles, leurs charge provoqua tant d effrois que les archers monté nous encerclant se mirent a fuir, le prince ordonna a ses hommes de continuer vers le sud, ils regarda la quelques dizaines de mes hommes restant et proposa a l un d eux que nous l accompagnâmes.
Arrivant en trompe je lui répondis que les paladins ne quittaient le champ de bataille que pour rejoindre les cieux ! , il me sourit et commença a partir, la totalité de mes hommes le suivirent, seul Siegfried moi et Alexandra restions stupéfait de la couardise de mes hommes,le prince et ses suivant se mirent a galoper rapidement ,Siegfried me suggéra de le suivre et j ordonnais a mes deux amis de le faire .
Je refusais d abandonner le combat, ma monture était morte a cause de ces chiens et je me battrais jusqu a la mort pour la venger, Siegfried et Alexandra se contentèrent de me faire un signe de tête affirmatif et se mirent au galop, les archers monté avaient presque finis de tuer les fuyards et se rassemblèrent décidé a poursuivre le prince.
Vus l avance des autres ils étaient hors de danger mais ces ennemis devaient payer, je suivis malgré tout le chemin de mes soldats et pus voir que j étais pris en poursuite pas nombre d archers, je parvenais difficilement a contenir ma fatigue et les cavaliers gagnaient du terrain, je voyais pas si loin de moi le prince et mes hommes, je leurs criait d accélérer le rythme mais leurs montures étaient épuisé par le combat.
Une centaine d archers monté nous suivaient de prêt, mes troupes et la garde du roi ensemble étaient environ le même nombre mais une attaque était trop risqué pour eux, tandis que nous continuions a nous éloigner du champs de bataille nous franchissions les collines et étions de plus en plus prêt des flèches ennemies.
Ma fierté finit pas prendre le dessus, alors que j étais au talon des autres je m arrêtais soudainement, nous venions de franchir une petite colline et les ennemis étaient un peu plus bas, j étais la de fuir, ma blessure au dos me faisait souffrir et je décidais d en finir,je fis marcher lentement ma monture au sommet de la colline et planta ma lance dans le sol avant de dégainer ma lame .
Je pouvais voir les ennemis, ils étaient une petite centaine et étaient surtout des mercenaires a vus de nez, repoussant en arrière les cheveux qui cachait ma vie je pris mon épée a deux mains, je la serais de toute mes forces, je talonnais ma monture et elle se mit a marcher puis a galopés le chien du Svarog.
Poussant un cris de guerre je m élançais vers les ennemis ils sortirent des flèches étonné et tirèrent, le relief m avantageait, une seule vint se loger dans mon épaule droite,je failli lâcher ma lame sous le choc mais je parvint a la garder,un ennemis était un peu en avant ,passant a coté de lui je le frappais de toute mes forces dans ses cotes,il faillit être coupé en deux et son sang jaillit abondamment mais je ne parvint pas a sortit mon épée du corps de l ennemis et entraîner par ma vitesse je continuais a descendre.
Je passais ainsi entre les ennemis qui me regardaient ébahis, je sortais mon couteau par réflexe mais trop tard, je sentis une flèche se loger dans mon dos et faillis tomber sous l impact plusieurs traits atteignirent ma monture car elle ne tarda pas a trébucher, je tombais lourdement au sol manquant de me faire écraser, je me sentis m écrouler comme au ralenti, l impact fus d une violence incroyable.
Je ressentis comme un coup de masse dans le dos en plus du choc la flèche était rentrée plus profondément dans la chair et je ne parvenais pas à respirer, le manque d air entraînait une chute de tension et une perte de conscience
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Mer 12 Sep - 18:56
ALEXANDRIE !ALEXANDRIE !ALEXANDRA !ALEXANDRA !BA-RA-CU-DAAAAAAAAAAA! 
désolé je pouvais pas tenir plus longtemps sans la sortire celle la 
sinon que dire, c'est vraiment bien, mais je dois t'aouver que parfois je m'y perds....
