[RP]Votre propre visite des archive

D'abbord IL EST INTERDIT DE FAIRE UN AUTRE RP ICI celui ci est exceptionellement autorisé par le sieur Sopraluk et tout les autres seront toujours dans la salle commune.


Vous entrez dans la salle des archives,tant de savoir entreposé dans un tel endroit vous donne à penser et à lire, qu'allez vous faire ?Resterez vous là sans rien faire ?ou prendrez-vous le grand grimoire de l'Ordre ,les parchemins d'une époque oublié,les récits et chanson de geste racontant les exploit des chevaliers ?,lirez vous avec effroi les terrible récit de la cruauté païenne au premier temps de la chrétienté? plongeriez vous dans d'ancien et étonnant traité scientifique sur lesquels l'inquisition n'a pût faire main basse? lirez-vous avec emerveillement les récit des voyageur de l'Orient ?

C'est à vous de choisir mais nul doute que vous y passerez un bout de temps

Athanasios entra avec une sorte d'apréhension dans la grande salle des archives de l'Ordre.......cet endroit l'avait souvent attiré, mais en meme temps il n'arrivait jamais à prendre sur lui et a y pénétrer........
Il resta un instant immobile, contemplant avec effarement les rayonnages de parchemins jaunis par le temps, les piles de livres plus anciens les uns que les autres....
Il avança lentement, éfleurant du bout des doigts les couvertures couvertes de poussière....
Athanasios erra longtemps, s'émerveillant devant tant de savoir entreposé...soudain il s'arreta....un titre avait attiré son intention.
"geste et hauts faits des Chevaliers Divins" disait le titre...
Fasciné, le byzantin prit le volume, le maniant comme s'il s'agissait s'une antique relique, le posé sur une table moins couverte de parchamins que les autres, et ce plongea dans la lecture des exploits accomplis par les Chevaliers...

Sclavo descendait les escaliers particulièrement raides qui menaient aux archives de l'Ordre, il ne comprennait pas que quelqu'un ait eu l'idée de les placer là, si bas sous la surface. Les marches en pierres étaient usées par endroit, la pierre s'éffritait sous ses pas et Sclavo se dit avec amertume qu'il avait accomplit des missions bien moins périlleuses que la descente de cet escalier.
Les torches qui éclairaient l'escalier étaient si espacées que certaines marches étaient rendues invisibles par l'obscurité, certains passages de dix mètres étaient totalement noirs, là où les torches s'étaient complétement conssumées.
Finalement, avec l'aide de Dieu, Sclavo parvint devant une porte de bois qui devait donner enfin sur les archives. La poussant d'abord d'une seule main, Sclavo dut mettre tout son poids sur son épaule et pousser avec pour ouvrir la porte récalcitrante qui grinça joyeusement.

Entrant dans une gigantesque salle, Sclavo eu un moment de passage à vide, éstomaqué par la vision qu'il eut. Le plafond devait être à une dizaine de mètres du sol et les étagères de bois montaient jusqu'à le toucher, servant de piliers. Les rayonnages étaient disposés d'une manière chaotique, un véritable enchevaitrement qui formait un labyrinthe où devait probablement se promener un minotaure. Sclavo hésitait à s'y engoufrer de peur de ne jamais en sortir vivant. Quelques tables étaient disposées ici et là, aucune personne ne les occupait, mais peut-être Sclavo retrouverait-il les corps de quelques malheureux s'étant égarés entre les rayons.

-Bien le boujours monseigneur ! S'exclama une voix musicale particulièrement aigu.

Sclavo remarqua enfin un petit homme au dos vouté qui l'observait avec un grand sourire-sans la moindre trace de dent cependant-aucun cheveu non plus de venait occuper son crâne luisant à la lumière des torches.

-Que puis-je pour vous ? Demanda le petit homme d'une voix rapide, souriant joyeusement. Je suis l'archiviste, tout ce que vous voudrez je pourrais vous le fournir. J'ai accumulé bien des ouvrages tout au long de ma vie, que ce soit pour le seigneur Sopraluk, son père, son grand-père où même son arrière grand père...c'était une autre famille qui régnait ici avant ce dernier.

L'archiviste émit un curieux gloussement, comme s'il venait de dire une blague particulièrement drôle, Sclavo ne devait pas partager le même humour...

-Heu...Commença Sclavo, mit mal à l'aise par le regard de l'archiviste qui ne devait vraiment pas voir beaucoup de monde. Je suis venu un peu par curiosité je l'avoue, je ne cherche pas quelque chose en particulier.

-Ha mais ce n'est pas grave du tout. Gloussa l'archiviste une fois de plus, décidemment, Sclavo ne comprennait rien à l'humour du petit homme. Vous pouvez rester ici aussi longtemps que vous voudrez, et si vous avez le moindre soucis, faites appel à moi -nouvelle plaisanterie qui déclencha chez lui un gloussement- je ne serais jamais très loin.

-Heu merci c'est très aimable. Le remercia Sclavo d'une voix hésitante. Heu...je serais peut-être interessé par des ouvrages sur Die Koalition der Gerechten où d'autres ordres hérétiques et païens.

Le visage de l'archiviste fut traversé par une sombre expression froide et malsaine qui rendit son visage encore plus désagréable à regarder qu'auparavant. Mais cette expression disparut presque aussitôt et il retrouva son visage aimable et dérangeant.

-Je vois je vois. J'ai ce qu'il vous fait evidemment -nouvelle plaisanterie- vous trouverez quelques ouvrages intéressant dans l'allée K sur l'étagère 641 au 7ème niveau, et peut-être d'autres dans l'allée N sur l'étagère 129 au 21ème niveau...mais il vous faudra peut-être une échelle pour l'atteindre -nouvelle plaisanterie- si vous le voulez faites moi signe.

-Merci. Répondit Sclavo qui tenta de sourire mais ne parvint qu'à grimacer d'une manière qui devait être plutôt troublante. Mais je crois que j'y arriverais tout seul, j'ai quelques aptitudes à l'escalade.

L'archiviste hurla de rire, de sa voix aigu qui transperça les oreilles de Sclavo qui regretta d'avoir tenté ce trait d'humour qui tout au plus n'aurait déclenché chez une personne normal qu'un sourire indulgent.
Ne souhaitant pas rester plus longtemps avec le petit homme, Sclavo s'enfonça sans plus attendre entre les étagères, adressant une prière silencieuse pour qu'il parvienne à sortir un jour de ce lieu.

Les porte claquèrent et Peter fit bruyamment irruption dans la salle des archives. L'archiviste scandalisé se précipita à sa rencontre :

-Messire !messire ! un peu de tenue par pitié ! Savez vous ou vous trouvez !?
-Il suffit ! ,répondit Peter , je sais que vous recevez des messagers pour éditer vos bouquins sur les pays frontaliers et je suppose aussi que vous êtes parfaitement au courant des derniers évenements au Nord de la Germanie
-Ulrich ,gémit l'archiviste en reculant précipitament ,il vous a dit que...
-Oui je suis au courant pour mon frère et tu l’était aussi !beugla Peter en empoignant l’archiviste.
-Attendez…laissez-moi vous expliquer…
-Il n’y a qu’une seul a chose à expliquer ,pourquoi ne m’as tu pas dit que Wilhemn était mort à Magdeburg ?!
-Regardez ça d’abords ,fit l’archiviste haletant en sortant difficilement quelque chose

Il montra à Peter un poignard d’apparence ordinaire à l’exception du pommeaux ouvragé en forme d’un guerrier païen les mains jointes en position de prière .Le visage de Peter se referma et il empoigna encore plus fort l’archiviste qui laissa tomber l’arme.

-Seul les Soukönsson portait ceci .Ou as-tu obtenu ça ? Répond !
-Ma mère me le donna lorsque j’était enfant ,murmura l’archiviste ,elle disait qu’un chevalier Germain le lui avait donné et qu’ils s’étaient aimés jadis.

Peter le lacha enfin a causes de se qu’il avait comprit .Regardant hébété ,cet homme qui vraisemblablement devait être son …

-Rodrik !Rodrik von Soukhen le Banni !tu est l’un de ses batârds ! s’exclama Peter

L’archiviste acquiesca gravement

-Il y en a d’autre comme toi ? demanda Peter eberlué
-Non , mes demi-frères et sœur ont tous péris . L’archiviste parlait à présent d’une voix sombre qui ne ressemblait nullement à ces piaillement habituel. Certain dans les places païennes que vos frères ont détruites ,les autres massacrés par …ciel ne me dites pas de faire cela ! Il me tueraient si il le savaient…
-Et pourquoi est tu vivant ?Pourquoi suis-je aussi vivant ?
-Par pitié non !
-Tu va répondre oui ?aboya Peter en le prenant à la gorge.
-Aargh…nous avons fait …hhh…vœu de…pas de risque…arg…héritier

Peter desserra son emprise sur son cou pour mieux entendre

-Ouf…prenez ce livre en cuir rouge là bas…vous comprendrez

Le Germains obéit et prit cette ouvrage sans lacher des yeux l’archiviste . Le titre était « Généalogie des maisons du nord de l’empire ». Comme prévu se n’était qu’une suite d’arbre que Peter feuilleta jusqu'à s’arrêter devant la page « les Soukhen de castel-Soukhen ». L’embranchement contenait un luxe de détail effarants ,Peter regarda tout en bas ,on voyait son nom a côtés de celui de « Wilhemn né en l’an 1129,baron en 1150 ,mort en 1152 » dans l’embranchement d’à côtés du père de Peter se lisait Rodrik le banni suivit d’une floppée de nom de gens du commun ,ses bâtards . Tous les noms sauf celui de l’archiviste et d’une certaine « Catherine de Lunenbourg » étaient accompagnés d’une croix mortuaire .

Peter ouvra la bouche pour poser sa question mais l’archiviste répondit avant :

-La seuls qu’il est reconnue ,et la seule capable de continuer la lignée puisque vous n’aurez jamais de descendance en temps que chevalier de la croix. Ils y ont veillés..
-Lunenbourg n’est qu’une cité-état sans importance , même oncle Rodrik n’était pas assez fou pour les désigner comme titulaire de ma baronnie si il n’y a plus de Soukhen. De tout de façon nos barons préféraient déclarer la guerre à tout le Reich plutôt que de soumette à des bourgeois de l’Ouest.
-Ils l’on fait et sont tous mort ou soudoyés. Je vous en ai trop dit …je suis perdu dit l’archiviste ,le visage blème .

Avant que Peter ais esquisser un mouvement il ramassa le couteau a une vitesse étonnante compte tenu de son dos voûté et s’ouvrit les veine de la main .Le sang gicla et il s’effondra .Peter regarda à un moment le cadavre ne sachant quoi penser ,il resta un moment jusque a se que un soldat penetre dans la salle

- Messer Soukhen ! Une nouvelle mission !

Revenant enfin des bas-fonds de la bibliothèque, Sclavo se sentait soulagé en retrouvant un chemin familié. Après des semaines d'errance au cours des-quels il avait dut manger des rats et sucer l'humidité sur les livres pour survivre, il allait retrouver l'air libre.
Entendant non loin de lui les bafouillements de l'archiviste, Sclavo l'appela à voix haute.

-Excusez moi mais j'ai dechiré une page dans le livre "Le paganisme de la mer Baltique" ! Dit-il assez fort pour se faire entendre.

Soudain, un gémissement de douleur résonna et Sclavo arriva à l'entrée de la bibliothèque où l'archiviste venait de se tailler les veines devant Pether Von Soukhen. Le petit homme baignait déjà dans son sang et son regard témoignait de l'horreur qu'il avait ressentit dans ses derniers instants.

-Mais c'était pas une raison pour en arriver jusque là ! S'exclama Sclavo en montrant le livre abimé et sa page qui n'attendait que d'être réparés. Beurk...qu'est-ce qu'on va faire de ça maintenant ?!

et apre on critiquait Blacko de faire le con dans les topics RP ^^

MdR....éh ba voilà! Faut se laisser aller un peu...